Un an après les émeutes de mai 2024, l’archipel ultramarin reste marquée par une répression exceptionnelle. Militarisation, arrestations massives et atteintes aux libertés ravivent les blessures du passé colonial jamais refermé.
Un an après les révoltes en Nouvelle-Calédonie, la crise s’installe. En jeu : la capacité à sortir d’un rapport colonial, ici comme ailleurs. L’histoire nous enseigne les conséquences d’un entêtement buté et absurde.
L’État de droit est fragilisé par des attaques politiques remettant en cause l’indépendance de la justice. Face à cette dérive, la défense des principes démocratiques devient urgente.
Le 7 mai, la ministre de l’Éducation, Élisabeth Borne, présentait le plan « Filles et maths », pour inciter les filles à étudier les sciences. Ces inégalités sont loin d’être nouvelles, et ont même été aggravées par la réforme de 2019 du lycée de Jean-Michel Blanquer.