Magistral patchwork sur les destins des saintes femmes et des divas de la musique populaire, le quatrième album de l’Espagnole est monstrueusement ambitieux et absolument pop.
Le romancier britannique nous projette en 1914, à la veille de l’entrée en guerre, quand la liaison du Premier ministre avec une jeune aristocrate fait trembler les services secrets.
Pour commercer avec l’Empire, les Européens du XIXe siècle ont taché de comprendre ses habitants en scrutant comment leur corps se mouvait dans les gestes du quotidien.