Alexandra Schwartzbrod, Elise Raimbaux, Claire Devarrieux, Nathalie Agogué, Frédérique Roussel, Robert Maggiori
Une ambiance de fin de règne en Algérie, un séjour dans un centre de repos, une déclaration de bébé à l’état civil, une nuit dans un train, la vie d’une «éminence grise» des lettres françaises...
Après le licenciement abusif de 30 à 40 employés britanniques et canadiens, qualifié par les organisations de travailleurs d’entrave syndicale, le géant du jeu vidéo a annoncé un nouveau report du jeu le plus attendu au monde.
Dix ans après, «Libération» a invité 13 artistes à revenir sur les attentats : comment ils les ont vécus, comment ils les ressentent encore aujourd’hui. L’écrivain américain se remémore sa rencontre avec une femme dont la fille avait péri au Bataclan.
Cinquante ans après sa mort, le dernier recueil du poète et cinéaste italien est enfin traduit en français aux éditions Lanskine. Un ensemble de textes inédits auxquels s’ajoute une biographie.
La photographe pose un regard espiègle sur les derniers mois de sa mère, atteinte de démence vasculaire. Ses images sont publiées ce mois dans «Calling the Birds Home», aux éditions l’Artiere.
Le conseil de l’acteur, qui a accumulé les échecs ces derniers mois pour son client, a été dessaisi au profit de maître David-Olivier Kaminski sur les dossiers pénaux.
Dans son méta-blockbuster pour Netflix, Guillermo Del Toro adapte très fidèlement le classique SF, ajoutant un géniteur absent au docteur et une mèche emo à la créature gothique.
Dino D’Santiago, chanteur-compositeur et fondateur du projet Lisboa Criola, pose son micro dans la capitale avec «Lisboa nu bai Paris». L’occasion de fêter, avec d’autres artistes créoles, les 50 ans de l’indépendance des pays lusophones africains et tous ses sons.
Dans son budget fédéral présenté mardi, Ottawa a semblé ouvrir la porte à une participation à la compétition musicale. Une aubaine pour les organisateurs, qui cherchent à pallier le retrait potentiel de plusieurs pays si Israël devait participer à la prochaine édition.
Sur proposition du musée des Beaux-Arts de la ville, l’écrivaine et journaliste Dorothée-Myriam Kellou a imaginé la «Table de désorientation» pour interroger l’héritage du passé colonial. L’œuvre a été inaugurée ce jeudi 6 novembre.