Le ministre de l’Intérieur a annoncé la dissolution, jeudi 12 juin, du groupe d’extrême gauche qu’il accusait de violences. L’organisation née à Lyon en 2018 se targue, elle, de plusieurs victoires contre l’extrême droite.
Depuis trois ans, et plus encore depuis la dissolution l’en dernier et la défaite du camp présidentiel, le gouvernement voit nombre de ses amendements retoqués. Et tarde aussi à publier les décrets d’application des lois votées.
A l’initiative de la députée Liot Constance de Pélichy, les élus ont, dans un rare élan consensuel, dénoncé les propos des leaders européens d’extrême droite invités en meeting par le RN, le 11 juin.