Benjamin Pestieau est responsable des relations syndicales du PTB.
Avec le plan ReArm Europe, la Commission veut injecter 800 milliards d’euros dans l’armement. Faire de la militarisation le moteur de la réindustrialisation mènera soit à la guerre, soit à la crise — et dans les deux cas, au déclin industriel.
Berlin se réarme, Washington commande... Mais qui en paie le prix ? L’argent pour les pensions, pour les soins de santé et pour les services publics est désormais destiné aux chars, aux missiles et aux frégates. Il n’y a aucune raison d’accepter un modèle de société qui rationne nos droits pour l’appétit de la guerre.
« Si vis pacem, para bellum » – si tu veux la paix, prépare la guerre. Cette maxime résonne dans les quartiers généraux des ministères de la Défense, des états-majors et de l’industrie de l’armement. Dix experts en sécurité et en relations internationales s’élèvent contre l’idée que la paix s'impose par les armes.
Il y a 70 ans, en 1955, la ville indonésienne de Bandung réunissait les chefs de gouvernement de vingt-neuf pays d’Afrique et d’Asie. Au centre des discussions : la décolonisation, le processus de paix mondiale et le développement. De cette vision de solidarité et de coopération est née une idée : l’esprit de Bandung.
Élu en 2013, le défunt cardinal jésuite argentin Jorge Mario Bergoglio avait choisi son nom en hommage à saint François d’Assise ayant fait vœux de pauvreté. À l’opposé de son prédécesseur, son pontificat fut guidé par la simplicité du protocole et les questions sociales.
L'accès à la mobilité est déterminé par le capitalisme en fonction du montant que vous pouvez payer. Ceux qui n’y arrivent pas se retrouvent dans la pauvreté en matière de mobilité. Les transports publics gratuits offrent une alternative.