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La Lettre de Philosophie Magazine

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01.11.2025 à 17:00

“Faut-il écraser les autres pour réussir ?” Six philosophes débattent de l'ambition

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“Faut-il écraser les autres pour réussir ?” Six philosophes débattent de l'ambition nfoiry sam 01/11/2025 - 17:00

De l’antique Épicure à nos presque contemporains Cioran et Sartre, la question de l’ambition traverse la philosophie – parce qu’elle interroge notre manière de mener notre vie, notre relation aux autres, ainsi que notre rapport au monde. Dans le tout nouveau numéro spécial de Philonomist à retrouver chez votre marchand de journaux, nous confrontons leurs points de vue.

novembre 2025
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01.11.2025 à 12:00

Julien De Sanctis : “Une vie qui a été aimée peut partir tranquille”

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Julien De Sanctis : “Une vie qui a été aimée peut partir tranquille” nfoiry sam 01/11/2025 - 12:00

Dans notre nouveau numéro à retrouver chez votre marchand de journaux, six penseurs exposent ce que signifie pour eux se « préparer à la mort ». Nous vous proposons de découvrir le témoignage du philosophe spécialiste d’éthique Julien De Sanctis, auteur du récent essai Mourir, le temps que ça aille mieux (Philosophie magazine Éditeur).

novembre 2025
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01.11.2025 à 06:00

“C'est carré”, une expression qui ne tourne pas vraiment rond ?

nfoiry

“C'est carré”, une expression qui ne tourne pas vraiment rond ? nfoiry sam 01/11/2025 - 06:00

L'expression « c’est carré » s’applique à tout ce qui est réussi, bien réalisé, net et précis. Une tentative un peu vaine d'ordonner un monde quelque peu… tordu ? Réponse d'Octave Larmagnac-Matheron.

novembre 2025
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31.10.2025 à 18:29

Une expo ”Gothiques” flamboyante au musée Louvre-Lens

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Une expo ”Gothiques” flamboyante au musée Louvre-Lens nfoiry ven 31/10/2025 - 18:29

Le musée du Louvre-Lens consacre une grande exposition à l’art gothique, du Moyen Âge à nos jours. Cédric Enjalbert a revêtu ses atours les plus sombres pour vous la présenter… sans trembler.

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Ce texte est extrait de notre newsletter hebdomadaire « Par ici la sortie » : trois recommandations culturelles, éclairées au prisme de la philosophie, chaque vendredi soir. Abonnez-vous, elle est gratuite !

« Peut-être aurez-vous les yeux fardés de noir et sorti le cuir pour fêter les morts façon Dracula, ce soir. Ou peut-être profiterez-vous plus gentiment du week-end pour aller observer les gothiques… au musée ! Le Louvre-Lens offre en effet une plongée dans ce courant artistique né au XIIe siècle et ravivé dans la culture pop. Une question parcourt toute l’exposition (dans un déroulé chronologique un peu sage) : comment de la lumière a émergé la nuit ? Car ce mouvement né au Moyen Âge, caractérisé par l’érection des cathédrales et le raffinement des vitraux, est avant tout un art de la couleur et de la lumière. Les œuvres exposées dès les premières salles – vitraux et peintures – attestent l’éclat de l’art, témoin d’un essor urbain, économique et technique. Ainsi La Vierge protégeant l’ordre de Cîteaux (1508, photo), conservée au musée de la Chartreuse, à Douai, fascine par ses tonalités éclatantes, de même que la fantaisie des sculptures de saints, de plantes et d’animaux fantastiques. Le terme “gothique” n’apparaît en fait qu’à la Renaissance. Il est alors dépréciatif et qualifie les pratiques “barbares” du Moyen Âge (il n’est pas rare que les appellations de courants artistiques aient d’abord été des anathèmes, comme le baroque ou l’impressionnisme). Le mouvement tombe en désuétude avant d’être redécouvert à la fin du XVIIIe siècle, et la bascule s’opère : de flamboyant, le gothique devient synonyme d’obscur. Les châteaux et les églises en ruine deviennent l’espace physique et mental où se déploient les visions sublimes du romantisme noir. L’écrivain Horace Walpole fait ainsi paraître Le Château d’Otrante (1764). Son roman de fascination et d’effroi témoigne d’une sensibilité nouvelle, celle de l’individu tourmenté par des abîmes intérieurs. Victor Hugo participe de ce renouveau du gothique. Il écrit : “L’homme qui ne médite pas vit dans l’aveuglement. L’homme qui médite vit dans l’obscurité. Nous n’avons que le choix du noir.” Dans la littérature, le cinéma, l’architecture, la mode, cette passion néogothique se prolonge, jusqu’à aujourd’hui. Des dessins de l’illustrateur Benjamin Lacombe sont ainsi présentés, une merveilleuse robe “cathédrale” d’Iris van Herpen ou encore une étonnante sculpture en acier de Wim Delvoye, visible dès l’entrée. Une culture “goth” et bien vivante ! »

➤ L’exposition Gothiques, au musée du Louvre-Lens (99, rue Paul-Bert) est à voir jusqu’au 26 janvier 2026 (du mer. au lun. de 10h à 18).

octobre 2025
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31.10.2025 à 12:00

“Kaamelott II, 1re partie” : le roi Arthur est-il en train de devenir anarchiste ?

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“Kaamelott II, 1re partie” : le roi Arthur est-il en train de devenir anarchiste ? nfoiry ven 31/10/2025 - 12:00

Actuellement au cinéma, la première partie du deuxième volet de la saga Kaamelott, réalisée par Alexandre Astier, raconte l’histoire d’un roi hostile au pouvoir. La monarchie de la saga arthurienne est-elle en train de devenir… une anarchie ? Analyse avec Platon et Gilles Deleuze.

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Le roi Arthur (Alexandre Astier) passe ses journées en pyjama gris. Ses cheveux longs, un peu sales, dépassent de son bonnet de nuit. Le roi est triste, le roi se traîne dans son château : il n’a plus envie de rien. Sa femme, la reine Guenièvre (Anne Girouard), et ses beaux-parents (Lionnel Astier et Joëlle Sevilla) s’échinent en vain à essayer de lui redonner l’envie de se lever le matin. C’est dans cette ambiance un brin sinistre que débute le deuxième long-métrage inspiré de la série Kaamelott, sorti le mercredi 22 octobre au cinéma. 

Rembobinons. Le royaume de Bretagne sort d’une période de dix ans de tyrannie, durant laquelle le glacial Lancelot du Lac (Thomas Cousseau), traître et tyran, a gouverné le pays avec égoïsme et cruauté. Pendant tout ce temps, l’ancien souverain Arthur Pendragon était esclave. L’entourage qui lui est resté fidèle le libère, puis le supplie de reprendre les rênes du pouvoir. Problème : il n’en a plus envie. 

“Ce deuxième volet pourrait s’intituler : ‘Débrouillez-vous, le roi a suffisamment donné !’”

Et pour cause, le roi Arthur a passé des années à gouverner une bande de bras cassés. Et cette équipe, qui s’est légèrement transformée avec le temps, n’est pas devenue particulièrement plus efficace, ni plus douée. Certes, le groupe est attachant et plein de bonhomie. Les chevaliers aiment le roi et font de leur mieux pour lui montrer. Cette joviale troupe d’imbéciles heureux, amoureux du gras et de la bonne chère, surtout Karadoc (incarné par Jean-Christophe Hembert), constitue le noyau dur de la table ronde. Le roi Arthur les apprécie comme de bons vieux camarades… Mais il ne veut plus les gouverner. Bref, ce deuxième volet pourrait s’intituler : « Débrouillez-vous, le roi a suffisamment donné ! » 

 

Le refus du pouvoir 

Et si ce dégoût du pouvoir était justement la force de cette version roi Arthur ? Et si c’était même un genre de modèle de gouvernance que proposait Astier à travers cette réécriture de l’épopée médiévale ? Platon estime que le meilleur gouvernant est précisément celui qui n’a pas envie de gouverner, qui a mieux à faire qu’exercer cette tâche ingrate et compliquée. Selon l’auteur de la République, le roi parfait est « le roi philosophe », qui œuvre « dans l’intérêt de la cité, en exerçant [le pouvoir] non pas comme s’il s’agissait d’une fonction susceptible de [lui] apporter des honneurs, mais comme une tâche nécessaire ». Tout comme le « philosophe roi » de Platon, Arthur finit par accepter sa fonction de souverain. Il ne l’exerce pas comme un privilège, mais comme un fardeau nécessaire. 

“Le pouvoir n’est plus centré sur la figure d’un seul mais démultiplié, partagé”

Ce type de gouvernance innove, car il fait presque sortir Kaamelott du régime monarchique. Le roi n’est plus vraiment un roi, car il ne gouverne plus. Pendant qu’il laisse faire, des changements bienvenus s’opèrent : les femmes et les jeunes, jadis absents de la Table ronde, participent désormais aux délibérations. Les chevaliers et les chevalières peuvent décider en toute autonomie de la quête qu’ils vont accomplir. Le roi les encourage, les soutient, mais ne leur commande rien. Le pouvoir n’est plus centré sur la figure d’un seul mais démultiplié, partagé. Chacun peut l’exercer à son niveau, sans être influencé par une figure tutélaire et unificatrice. Le roi est là sans être là. En un sens, le pouvoir à la Table ronde va jusqu’à prendre la forme d’une anarchie : du grec an-archè, le terme désigne bien l’absence de principe unificateur. 

Dans ce film, la narration elle-même devient anarchique. S’il a pu perturber certains spectateurs, c’est entre autres parce qu’Astier ne propose pas une histoire claire, attendue, mais plutôt une multitude de tableaux diffractés. Le long métrage est pensé comme un jeu vidéo en monde ouvert, avec plusieurs chemins possibles, plusieurs quêtes qui se juxtaposent sans se croiser. Cette anarchie se perçoit à l’image, jusque dans les couleurs du film. On passe sans transition d’une pellicule orange pour les paysages de Méditerranée, aux reflets bleutés des contrées glacées du Nord. Les mouvements hachés et presque chaotiques de certaines scènes, alternent avec des plans fixes, tandis que certains passages dignes d’Harry Potter ou de Star Wars côtoient des scènes de pures farces qui semblent inspirées du théâtre de boulevard. 

 

Une esthétique “rhizomatique” 

Le récit de Kaamelott se rapproche en l’occurrence de ce que Gilles Deleuze appelle un « rhizome », terme qui désigne une tige souterraine formant un « réseau » de racines, un « agencement » complexe et entrecroisé. À l’inverse de l’« arbre » qui pousse droit et évoque un système monarchique, le rhizome est par essence hostile à toute rectitude, à tout pouvoir central. 

“La rébellion d’Arthur ouvre des possibles, des respirations, tout en autorisant certaines fractures”

En tant que récit « rhizomique », Kaamelott II s’émancipe de la généalogie, de la lignée. Arthur fait bien un pied de nez aux dieux, en refusant d’accomplir la mission qu’ils lui ordonnent. Cette désobéissance entérine son rôle d’outsider. La rébellion du roi ouvre des possibles, des respirations, tout en autorisant certaines fractures. Le film est, par exemple, marqué par la rupture amicale entre Perceval (Frank Pitiot) – absent de ce volet – et son ancien partenaire, Karadoc. À l’inverse d’une histoire « classique », conçue comme une trajectoire rectiligne, le récit construit en rhizome « peut être rompu, brisé en un endroit quelconque, il reprend suivant telle ou telle de ses lignes », explique Deleuze. Là où une narration linéaire exige une absolue cohérence, une construction en rhizome peut se permettre de bifurquer.  

Esthétiquement, ce film montre une autre manière de créer des histoires : non par le récit linéaire et attendu, mais par la foisonnante démultiplication narrative. Politiquement, il présente aussi une autre façon de faire corps et d’unir un collectif : non par le commandement, mais par le laisser-être, le laisser-faire. Reste une question en suspens : un roi qui refuse le pouvoir… peut-il vraiment rester roi ?

octobre 2025
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31.10.2025 à 06:00

Jennifer Kerner : “Le décès d’un humain est un crime magique qu’il faut résoudre et venger”

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Jennifer Kerner : “Le décès d’un humain est un crime magique qu’il faut résoudre et venger” nfoiry ven 31/10/2025 - 06:00

Dans notre nouveau numéro à retrouver chez votre marchand de journaux, six penseurs exposent ce que signifie pour eux se « préparer à la mort ». Nous vous proposons de découvrir le témoignage de la thanato-archéologue Jennifer Kerner, chercheuse au musée de l’Homme et au Muséum national d’histoire naturelle et créatrice de chaîne YouTube de vulgarisation – Boneless Archéologie.

octobre 2025
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30.10.2025 à 21:00

L’art est-il toujours un planche de salut ?

nfoiry

L’art est-il toujours un planche de salut ? nfoiry jeu 30/10/2025 - 21:00

« Quel est le meilleur moment pour apprécier une œuvre d’art ? C’est la question que je me suis posée après avoir visité une exposition qui m’a laissée de marbre.

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J’ai franchi le seuil de cette exposition comme on entre dans un cimetière. Les tableaux m’ont paru tristes – vides, sans intérêt. Sur un écran, un artiste éminent enchaînait les poncifs avec assurance. Et pour couronner le tout : des cartels peu fournis en explications ont échoué à éclairer le sens peut-être savamment caché des œuvres exposées. Bref, j’ai rarement passé un aussi mauvais moment dans un musée. J’en étais d’autant plus attristée que je traversais à ce moment-là une période difficile. Je me sentais donc prête à expérimenter avec toute la ferveur possible, ce que l’on appelle pompeusement “le Salut par l’art”.

Cette mésaventure m’a rappelé un texte de Simone Weil qui est adressé non pas à la profession d’artiste mais à la mienne : celle de journaliste. Dans son essai L’Enracinement (publié à titre posthume en 1949), la philosophe s’en prend vertement à ceux qui écrivent mal, qui écrivent faux, et empoisonnent le lecteur avec leurs mensonges. Son argument est le suivant : quand les ouvriers “travaillent huit heures par jour et font le grand effort de lire le soir pour s’instruire, ils ne peuvent pas se livrer à des vérifications dans les grandes bibliothèques. Ils croient le livre sur parole”. Leur donner à lire des choses inutiles ou mensongères, revient à leur faire boire “l’eau d’un puits douteux”. 

Je dirais la même chose pour n’importe quelle personne qui a choisi de se confronter à de l’art en général, alors même qu’elle traverse un moment difficile. Dans ces périodes-là, on ne peut se permettre de lui refourguer de l’inauthentique, du raté, du prétentieux. C’est cette idée qui est également défendue dans le film Yannick, de Quentin Dupieux (2023). Yannick, le personnage incarné par Raphaël Quenard, exige de passer un bon moment devant une pièce de théâtre, précisément parce qu’il travaille comme un dingue toute la semaine. 

On pourrait rétorquer que les états de fatigue, de surmenage, ou plus largement les épreuves individuelles, les coups durs, ne sont pas forcément propices à l’appréciation d’une œuvre. Lorsqu’on est comme enfermé dans ses problèmes, il est difficile d’apprécier la beauté du monde extérieur. On considère alors que l’accès à l’œuvre résulte d’un d’effort, ou du moins d’une tentative de surmonter les méandres de notre propre intériorité. Il faudrait être dans une posture méditative et humble pour s’ouvrir à la subjectivité d’un artiste. Une patience et une déférence que la douleur intime rendrait impossible. 

Mais l’épreuve existentielle est aussi, je crois, un moment d’ouverture. Depuis la vulnérabilité, certaines formes d’art peuvent apparaître comme une évidence absolue. L’art accomplit dans ce cas la partie la plus noble de sa mission : il sauve, réconforte – bref, il fait du bien. La brèche ouverte par cette épreuve se fait alors courroie de transmission, élan. C’est ce que j’ai pu éprouver, par exemple, en assistant à la pièce de théâtre Un sacre, de Lorraine de Sagazan et Guillaume Poix, qui évoque la question du deuil. Nul besoin de fournir un effort démesuré pour s’y plonger. Certains spectateurs, à la fin de la pièce, s’enlaçaient tendrement – mus par un désir de vivre et de se consoler. L’œuvre se mêlait à la vie en toute simplicité, lui répondait. 

Si les épreuves personnelles éclairent parfois d’une lumière crue l’imposture d’un art désincarné, boursouflé et inaccessible, elles permettent aussi d’apprécier la beauté d’une œuvre réussie. Je suis d’ailleurs allée voir à la même période une réjouissante rétrospective de films documentaires réalisés par des étudiants en école de cinéma. Le contraste entre la sincérité de ces œuvres de jeunesse et la prétention de l’exposition visitée quelques jours plus tôt m’a saisie. J’en ai déduit que l’amour de l’art n’était pas forcément une question de “bonne disposition”. On aurait tort de systématiquement rejeter la faute sur un spectateur trop impatient ou trop centré sur lui-même pour comprendre une œuvre. Parfois, ce n’est pas le moment qui est mauvais… mais l’art qui échoue à nous happer. »

octobre 2025
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30.10.2025 à 17:00

Une mort à soi : pourquoi anticipons-nous de plus en plus notre fin ?

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Une mort à soi : pourquoi anticipons-nous de plus en plus notre fin ? nfoiry jeu 30/10/2025 - 17:00

Alors que les évolutions médicales et sociales permettent d’organiser les conditions de la fin de vie, nous entrons dans un nouvel âge métaphysique, où notre fin est anticipée. Jusqu’à devenir un projet ? Explications de Cédric Enjalbert dans l'article qui ouvre le grand dossier « La mort, autant s’y préparer » de notre tout nouveau numéro, à retrouver ce jeudi chez votre marchand de journaux.

octobre 2025
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30.10.2025 à 12:00

“La mort elle-même ne peut pas nous enlever la vie” : l'édito d’Alexandre Lacroix

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“La mort elle-même ne peut pas nous enlever la vie” : l'édito d’Alexandre Lacroix nfoiry jeu 30/10/2025 - 12:00

« Ce qui rend la mort impensable, c’est que la pensée est toujours en mouvement », écrit notre directeur de la rédaction Alexandre Lacroix en ouverture de l'édito de notre tout nouveau numéro « La mort, autant s'y préparer », en vente ce jeudi chez votre marchand de journaux. 

octobre 2025
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30.10.2025 à 09:00

“La mort, autant s’y préparer”. Le nouveau numéro de “Philosophie magazine” sort ce jeudi

nfoiry

“La mort, autant s’y préparer”. Le nouveau numéro de “Philosophie magazine” sort ce jeudi nfoiry jeu 30/10/2025 - 09:00

« Apprendre à mourir » : c’est, selon Socrate, l’une des missions les plus fondamentales de la philosophie. Dans notre nouveau numéro à découvrir dès aujourd’hui chez votre marchand de journaux, nous nous proposons de repenser ce projet philosophique, alors que, entre progrès de la médecine, possibilité de sédation profonde et directives anticipées, les circonstances concrètes de la mort ont changé. 

octobre 2025
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