Le spécialiste de la sécurité informatique Charles Cuvelliez et le banquier François-Valéry Lecomte estiment, dans une tribune au « Monde », que l’essor des banques en ligne au sein de l’Union européenne ne présente pas de risques majeurs, malgré les réserves émises par la Banque centrale européenne, dans un rapport en mai.

Après des débuts chaotiques et 14 réformes en cinq ans, le dispositif s’est mué en un enfer bureaucratique propice aux malversations, poussant le gouvernement à le suspendre. Un échec qui risque de décourager les Français de poursuivre l’effort de décarbonation.

Alors que Washington espérait un échange personnel depuis des mois, Pékin a fait attendre Donald Trump jusqu’au 5 juin pour éviter une conversation au plus fort de la crise des droits de douane.

Le président brésilien a débuté jeudi une visite d’Etat en France. A Bruxelles, la Commission européenne s’efforce de contourner les réticences françaises pour faire adopter l’accord à la majorité qualifiée.

Les plans d’épargne-retraite de cinq ans et plus sont transférables sans frais. Pour faire jouer la concurrence à bon escient, mieux vaut avoir quelques repères en tête.

Huit actifs sur dix affirment ne pas pouvoir se passer de voiture individuelle, décrit une enquête commandée par l’Association pour le droit à l’initiative économique. Cette dernière se penche sur les difficultés d’accès à la mobilité, et donc à l’emploi, des actifs les moins favorisés.

Nécessaires pour la production automobile mais aussi dans la défense ou l’électro-ménager, les aimants en terres rares commencent à manquer dans les usines, un peu partout dans le monde, après les restrictions d’exportation de la Chine, qui en a le monopole.

Les ventes aux Etats-Unis et en Chine, les deux principaux marchés des industriels français, reculent fortement.

Le nouveau plan de service de la TNT, qui entre en vigueur vendredi 6 juin, relance la concurrence entre les chaînes d’information, pour la première fois regroupées dans un même bloc.

Les pays membres se sont entendus pour durcir les conditions d’indemnisation. Le Parlement doit encore se prononcer.

Mercredi, les dockers de Marseille-Fos avaient déjà refusé de charger des pièces pour fusils mitrailleurs sur un navire en partance pour Haïfa. Jeudi, ils ont bloqué le chargement de deux autres conteneurs sur le même bateau, expliquant ne pas vouloir « être complices de massacres ».