Alors que la 30e Conférence des parties sur les changements climatiques se tient à Belem, au Brésil, du 10 au 21 novembre, l’enthousiasme est largement retombé. Mais les pays devraient y voir une opportunité pour faire primer la coordination sur la confrontation.
Les températures se maintiennent à des niveaux très élevés, selon le rapport annuel de l’Organisation météorologique mondiale. De quoi aggraver fonte des banquises, élévation du niveau de la mer et phénomènes climatiques extrêmes.
Les politiques publiques des pays occidentaux échouent à répondre sérieusement au déclin démographique et au désordre climatique, observe Marie Charrel, dans sa chronique au « Monde ».