Manger mieux, moins carné et plus bio, diminuer le nombre et la longueur de nos déplacements quotidiens et réduire le nombre de nos voyages en avion, ce n’est pas dramatique, souligne l’urbaniste, dans une tribune au « Monde ».
En 2015, la quasi-totalité des pays du monde s’engageaient à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Dix ans plus tard, son objectif de maintenir le réchauffement climatique en dessous de 2 °C semble difficile à atteindre.