Si des grands patrons du numérique déclarent trouver dans la Rome un modèle moral et politique, c’est probablement parce qu’elle célébrait les grands hommes et faisait l’éloge de l’audace, estime, dans une tribune au « Monde », l’historien Stéphane Ratti.
Dans une tribune au « Monde », la présidente honoraire du Club de Rome, Sandrine Dixson-Declève, le président de l’Institut Jean-Monnet, Jean-Marc Lieberherr, et l’ancienne ministre portugaise Maria Joao Rodrigues s’inquiètent de la dépendance numérique des pays européens à l’égard des géants américains et asiatiques.
Deux ans après les massacres terroristes perpétrés par le Hamas en Israël, alors que plus de 69 000 personnes ont été tuées dans les bombardements israéliens à Gaza, le niveau de crispation et d’incompréhension a atteint un niveau alarmant.