Le patron qui avait réussi la fusion de Fiat, PSA et Chrysler a démissionné, après une décision du conseil d’administration. Sa faute : avoir voulu maintenir coûte que coûte la rentabilité du constructeur automobile.
A présent que le monde regarde ailleurs, il ne faudrait pas que l’ambition des Jeux olympiques, à l’occasion desquels de considérables sommes d’argent public ont été débloquées en un temps record, disparaisse.