Donald Trump a reculé face à la Chine et offert des concessions au Royaume-Uni, mais les droits de douane américains sont quand même passés de 2,5 % à 14 % en moyenne, analyse dans sa chronique Eric Albert, journaliste au « Monde ».

Le programme, qui propose une couverture de santé à quelque 70 millions de personnes issues de foyers à faibles revenus aux Etats-Unis, dont 40 % d’enfants, est au cœur des discussions sur le texte budgétaire.

Le président américain n’a évoqué aucun durcissement des sanctions, prôné par les Européens, mais espère des négociations directes entre la Russie et l’Ukraine, en vue d’un cessez-le-feu et de la paix, dont les conditions seront discutées entre les deux pays.

Le démantèlement brutal de l’agence américaine pour le développement, l’Usaid, décidé par l’administration Trump, déstabilise le système mondial de l’aide humanitaire. Décryptage d’un bouleversement, en podcast.

Le Take It Down act, soutenu par la première dame, Melania Trump, vise à criminaliser la diffusion non consentie d’images à caractère sexuel, parfois créées grâce au concours de l’intelligence artificielle.

« L’approbation d’aujourd’hui consolide l’accès des Américains âgés de 65 ans et plus, et de ceux âgés de 12 à 64 ans et souffrant d’une comorbidité les exposant à un risque élevé de forme grave du Covid-19, à un vaccin (...) sans ARNm », selon le président de Novavax, le laboratoire pharmaceutique développant le vaccin.

Critiquée depuis plusieurs années, l’Organisation mondiale de la santé va devoir réduire ses dépenses de personnel de 25 %, notamment en raison du désengagement des Etats-Unis. Au-delà des coupes budgétaires, il s’agit de redéfinir les priorités.

Face à la baisse généralisée de l’aide au développement, l’année 2025 pourrait être celle de la fusion de plusieurs grandes agences de santé en une « entité humanitaire unique ». Le rapprochement du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme avec l’Alliance mondiale des vaccins est lui aussi envisagé.

Au cours d’une conférence sur la sécurité à Tallinn, en Estonie, vendredi 16 mai, Matthew Whitaker, le nouveau représentant de Washington à l’OTAN, a notamment évoqué la réduction des troupes américaines en Europe.

Il s’agit d’une version « agressive » mais traitable de la maladie. L’annonce intervient alors que le livre « Original Sin » revient sur l’aveuglement de son entourage lors de l’annonce de sa candidature en 2023. Il avait finalement dû renoncer.

L’ancien président américain, âgé de 82 ans, présente une « métastase à l’os ».

Le « Cuauhtémoc », bateau-école de la marine mexicaine, s’est dirigé vers le pont, alors que la hauteur de la structure ne permettait pas son passage.

La poétesse et photographe américaine, mariée à Salman Rushdie, publie son premier roman, « Promesse » (Gallimard), évocation de la condition noire aux Etats-Unis dans les années 1950. Une histoire puisée aux sources de ses propres blessures.

« L’avancée de l’enquête permettra de déterminer s’il s’agit de terrorisme international ou de terrorisme intérieur », a déclaré un responsable du FBI, la police fédérale. Le poseur de bombe est mort dans cette très forte explosion.

La cinquième fortune mondiale a annoncé début mai qu’il quittera la direction de son fonds d’investissement, Berkshire Hathaway, à la fin de l’année. Son nom apparaît pour la première fois dans les colonnes du quotidien le 2 mars 1990, lorsqu’il entre au capital du géant américain des rasoirs, Gillette.

Le gouverneur du Kentucky a déclaré que le bilan risquait de s’alourdir. Les tornades ont notamment provoqué d’importants dégâts dans la grande ville de Saint-Louis.

En refusant de se rendre en Turquie, Vladimir Poutine a prouvé qu’il n’accordait aucun intérêt à des discussions visant à mettre un terme à la guerre qu’il a lui-même déclenchée, mettant en mal la vision et la stratégie de Donald Trump pour mettre fin au conflit.

Le Sénat américain a lancé une enquête sur les conditions d’organisation d’un gala privé, prévu le 22 mai autour du président américain. Les participants y ont gagné leur place lors d’une compétition d’achat de cryptoactifs, qui a profité à la famille Trump.

L’économiste rappelle, dans une chronique, l’importance de la qualité de la dette publique américaine, et met en garde contre les tentations de Donald Trump et de certains de ses conseillers de saboter les bases sur lesquelles elle repose.

La guerre commerciale entamée par le président américain, même si elle est chaotique, ne devrait pas précipiter les Etats-Unis dans une récession, estime, dans un entretien au « Monde » ce professeur d’économie à Harvard.