Sur proposition du musée des Beaux-Arts de la ville, l’écrivaine et journaliste Dorothée-Myriam Kellou a imaginé la «Table de désorientation» pour interroger l’héritage du passé colonial. L’œuvre a été inaugurée ce jeudi 6 novembre.
Le «cantautore» turinois fait un retour inattendu avec «Una Lunghissima Ombra», gorgé de nostalgie et d’anxiété. Un grand disque qui se déploie comme un tête-à-tête avec son auditeur.
Ces professionnels qui interviennent dans les quatorze établissements de la capitale se mobilisent depuis le mardi 4 novembre pour réclamer une augmentation salariale.
Un audit mené avant le casse et rendu public ce jeudi 6 novembre met en évidence la préférence du musée pour les «opérations visibles et attractives», comme l’acquisition d’œuvres, et de nombreux manquements dans le déploiement des dispositifs de surveillance.
Magistral patchwork sur les destins des saintes femmes et des divas de la musique populaire, le quatrième album de l’Espagnole est monstrueusement ambitieux et absolument pop.
Le romancier britannique nous projette en 1914, à la veille de l’entrée en guerre, quand la liaison du Premier ministre avec une jeune aristocrate fait trembler les services secrets.