Des manifestants, rassemblés par milliers, ont pénétré sur le parcours de la dernière étape dans divers points du centre-ville de Madrid, entraînant l’interruption de la course, perturbée quasi quotidiennement depuis trois semaines.
De son côté, Israël affirme que le premier ministre Pedro Sanchez est «une honte pour l’Espagne» après l’arrêt de la Vuelta pour cause de manifestations propalestiniennes.