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21.10.2024 à 23:37

NBA: Zaccharie Risacher a "hâte de démarrer l'aventure"

FRANCE24

Mais à 19 ans, l'ancien ailier de Bourg-en-Bresse refuse toute comparaison avec Victor Wembanyama, lui aussi premier de la draft en 2023: "C'est un joueur unique, je suis juste admiratif de ce qu’il fait", dit-il. QUESTION: Quel est votre état d'esprit avant d'attaquer la saison ? REPONSE: "Je suis super excité, enthousiaste. J'ai vraiment hâte de démarrer l’aventure, c’est un rêve de gamin qui se réalise. Je suis encore plus excité et déterminé à apporter ma pierre à l’édifice, mon jeu et la personne que je suis au sein du groupe. Je suis content de pouvoir contribuer à gagner des matches. C'est vraiment ça l’objectif, j'espère que je vais m'y tenir et qu’on va avancer ensemble." Q: Que pouvez-vous apporter aux Hawks ? R: "Je suis un joueur assez polyvalent. Mon point fort, c'est de pouvoir contribuer à faire plusieurs choses sur le terrain, notamment défensivement. Je peux défendre plusieurs postes. En attaque, j'ai une carte à jouer sur le tir à 3 points, c'est le domaine où je me sens le plus à l’aise. C’est ce dont on a besoin ici et ce qu’on me laisse faire. Mais ça peut être différentes choses comme prendre les rebonds, la contre-attaque, finir fort au cercle, l’alternance entre le jeu de coupe, le jeu sans ballon, peu importe ce dont on a besoin selon le déroulé du match et les systèmes en place." Q: Avez-vous l'impression d'avoir un statut particulier après avoir été N.1 de la draft ? R: "Je suis très reconnaissant d’être tombé dans cette franchise-là. J'y ressens le même état d’esprit que le mien, dans le sens où depuis le début, même avant la draft, je me suis toujours concentré sur ce qui comptait le plus, c'est-à-dire le travail quotidien pour faire gagner son équipe. C'est ce qu’ils attendent de moi plus que n'importe quelle autre chose. Je sens vraiment un accompagnement, qu'ils n'attendent pas de moi d’être tout de suite la tête de la franchise. Je vois qu’il y a des ambitions autour de moi et de l’équipe. J'ai beaucoup de chance de tomber dans cette franchise avec laquelle je peux travailler au quotidien super sérieusement, avec laquelle je sais que je peux me développer." Q: La comparaison avec Victor Wembanyama, lui aussi drafté en première position en 2023, est-elle pesante pour vous ? R: "Pour moi, il n’y a aucune comparaison qui peut être faite avec Victor. C’est un joueur unique, je suis juste admiratif de ce qu’il fait. On vient du même pays, on a fait les mêmes choses à une génération d’intervalle (Wembanyama a un an de plus que lui, NDLR) en Betclic Elite ou à la draft, c’est juste incroyable d’avoir quelqu’un comme lui dont je peux m’inspirer. On n’a pas forcément échangé là-dessus, je le connais très peu, mais il a eu la gentillesse de m'envoyer un message pour me féliciter." Q: Pensez-vous à l'équipe de France ? R: "L'équipe de France... ce serait un rêve de pouvoir représenter mon pays au plus haut niveau. J'ai eu l'expérience de pouvoir le faire en février pour la première fois (en qualifications pour l'Euro-2025, NDLR), c'était un sentiment spécial. Je suis habitué avec les équipes de France de jeunes. Je sais un peu à quoi m’attendre, et je suis super content de pouvoir prétendre à ce titre. Me connaissant, j’ai toujours fait mon possible pour réaliser mes rêves et mes objectifs, l'équipe de France en fait partie, c’est forcément dans un coin de ma tête. Je pense à l’Euro-2025 bien sûr, c'est dans un coin de ma tête." Propos recueillis lors d'un point presse

21.10.2024 à 23:31

Le Chili lance l'injection contraceptive chiens

FRANCE24

"Il s'agit du premier vaccin de ce type au monde pour les chiens", se félicite auprès de l'AFP Leonardo Saenz, de la faculté des Sciences vétérinaires de l'Université du Chili, à l'origine du projet. Le chercheur et son équipe travaillent depuis 2009 sur le développement du "vaccin", qui a commencé à être distribué en octobre au Chili. Le sérum se compose d'un produit immunologique qui stimule les anticorps, entraînant un blocage de la production d'hormones sexuelles pendant un an tant chez les femelles que chez les mâles. "Tout est bloqué : l'activité sexuelle et la fertilité", souligne Leonardo Saenz. Breveté dans 40 pays, dont les Etats-Unis, l'Argentine, le Brésil et dans l'Union européenne, le vaccin Egalitte représente une solution alternative innovante pour la gestion de la reproduction animale. Il agit comme une sorte de "castration immunologique" empêchant non seulement la reproduction, mais inhibant aussi "les comportements sexuels" des chiens liés à la production d'hormones, explique M. Saenz. Proposé à un coût de 50 dollars (environ 46 euros), il offre une alternative à la castration chirurgicale ou à la stérilisation, qui sont des procédures irréversibles et comportant des risques. "L'opérer ne me disait pas grand chose. Lui retirer ses parties... ça me faisait mal", témoigne Ivan Gutierrez, un étudiant de 27 ans, qui a emmené son chien Franchesco dans une clinique vétérinaire de Santiago pour y être vacciné. "La majorité des propriétaires ont peur de la chirurgie", confirme Mariela del Saz, vétérinaire de la clinique, évoquant des risques d'arrêts cardiorespiratoires malgré les examens préalables. Parmi les autres méthodes de stérilisation temporaire, les effets secondaires associés peuvent constituer un frein. L'implant hormonal, "qui agit pendant trois ou quatre mois (...), génère un déséquilibre qui peut provoquer des effets secondaires", avance M. Saenz. Au bout d'un mois, Yvan Gutierrez devra retourner chez le vétérinaire avec son chien pour un rappel, puis revenir chaque année pour une nouvelle dose s'il souhaite qu'il ne puisse toujours pas se reproduire. Avant d'être vaccinés, les chiens doivent subir des examens cliniques. Les chiennes gestantes ou celles immunodéprimées ne peuvent le recevoir, explique Hernan Aguilera, du laboratoire Ngen Lab, qui fabrique et distribue le sérum.

21.10.2024 à 22:37

Etats-Unis: la mortalité infantile en hausse depuis la fin de la protection du droit à l'avortement

FRANCE24

Mettant fin à un demi-siècle de jurisprudence en juin 2022, la Cour suprême, à majorité conservatrice depuis la nomination de trois juges par Donald Trump, a redonné aux Etats fédérés toute latitude pour légiférer dans ce domaine. Au moins 20 d'entre eux ont depuis mis en place des restrictions partielles ou totales à l'interruption volontaire de grossesse. Le sujet occupe une place importante dans la campagne présidentielle, à quinze jours de l'élection aux Etats-Unis. Le 5 novembre, les Américains se prononceront aussi sur la garantie par les Etats du droit à l'avortement dans pas moins de dix d'entre eux. Cette nouvelle étude, menée par Maria Gallo et Parvati Singh de l'Université de l'Ohio et publiée dans le journal JAMA Pediatrics, analyse une base de données nationale et ses résultats sur les conséquences des restrictions à l'IVG rejoignent ceux d'études publiées plus tôt cette année sur le seul Etat du Texas, où l'avortement est désormais interdit, y compris en cas d'inceste ou de viol. Dans les mois qui ont suivi la décision de la Cour suprême, "la mortalité infantile aux Etats-Unis a été plus élevée que ce à quoi nous nous attendions", les chiffres à l'échelle nationale étant habituellement plutôt stables avec des pics et des creux liés à des effets saisonniers prévisibles, explique à l'AFP Maria Gallo, professeure d'épidémiologie spécialiste de la santé reproductive. En octobre 2022, en mars 2023 et en avril 2023, les taux de mortalité infantile étaient 7% plus élevés qu'habituellement à l'échelle nationale, avec 247 morts supplémentaires pour chacun de ces mois. La majorité de ces décès ont été attribués à des anomalies congénitales. "Ce sont des cas dans lesquels, avant la décision de la Cour suprême, il aurait été possible d'avorter plutôt que de mener la grossesse à terme et de devoir assister à la mort de son enfant", souligne Maria Gallo. La prochaine étape pour les chercheuses sera d'établir si cette hausse a été observée dans tous les Etats ou si elle s'est concentrée dans les Etats qui ont restreint l'accès à l'IVG. "Il y a un bilan humain plus large à prendre en compte, en incluant les conséquences sur la santé mentale de se voir refuser un avortement ou d'être forcé à mener à terme une grossesse quand le foetus présente une anomalie congénitale mortelle", ajoute Parvati Singh.
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