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01:18 Le président syrien Ahmad al-Chareh arrive aux États-Unis

Le président intérimaire syrien, Ahmad al-Chareh, est arrivé aux États-Unis samedi pour une visite officielle, a rapporté l'agence de presse officielle de son pays, au lendemain du retrait de M. Chareh de la liste noire américaine du terrorisme.

Le chef de l’État syrien par intérim, dont les forces rebelles ont renversé le dirigeant de longue date Bachar al-Assad en fin d'année dernière, doit rencontrer au cours de sa visite le président américain, Donald Trump.

Lors de cette visite historique, Damas devrait signer un accord pour rejoindre la coalition internationale antijihadiste menée par les États-Unis, selon l'émissaire américain pour la Syrie, Tom Barrack.

Le groupe jihadiste État Islamique (EI) avait été défait militairement en 2019 en Syrie par la coalition et les Forces démocratiques syriennes (FDS), conduites par les Kurdes, qui négocient actuellement leur intégration dans l'armée syrienne.

Les États-Unis pour prévoient pour leur part d'établir une base militaire près de Damas, a indiqué à l'AFP une source diplomatique en Syrie. 

La Syrie, sortie de plus de 13 ans de guerre civile, cherche aussi à garantir des fonds pour sa reconstruction, un chantier dont le coût pourrait dépasser les 216 milliards de dollars (187 milliards d'euros), selon la Banque mondiale.  

Jeudi, le Conseil de sécurité de l'ONU a levé les sanctions contre M. Chareh, qui jusqu'à présent avait besoin d'une exemption des Nations unies pour chaque déplacement international.

La résolution préparée par les États-Unis salue l'engagement des nouvelles autorités de M. Chareh, qui il y a encore un an dirigeait le groupe Hayat Tahrir al-Sham (HTS), l'ancienne branche syrienne d'Al-Qaïda, à "lutter contre le terrorisme".

C'est au titre de chef de HTS, qui à la tête d'une coalition islamiste a renversé Bachar al-Assad le 8 décembre 2024, que M. Chareh était inscrit depuis 2013 sur la liste des sanctions de l'ONU.

- Bouleversement -

Mais dès sa prise du pouvoir, il a clairement rompu avec son passé jihadiste, multipliant les ouvertures vers l'Occident et les pays de la région, notamment les riches monarchies arabes. Il a aussi engagé des négociations avec Israël, pays avec lequel la Syrie est théoriquement en état de guerre.

Donald Trump avait déjà rencontré le dirigeant syrien lors d'un voyage dans le Golfe en mai et avait annoncé la levée des sanctions américaines contre la Syrie.

Les deux hommes vont également évoquer les négociations directes entamées par les autorités syriennes avec Israël.

M. Trump avait pressé en mai le dirigeant syrien de rejoindre les accords d'Abraham, qui ont acté en 2020 la reconnaissance d'Israël par plusieurs pays arabes.

Aux yeux de Michael Hanna, analyste de Crisis Group, "le président Trump a bouleversé de manière inattendue la politique de longue date des États-Unis concernant la Syrie en mai et a continué à soutenir le nouveau gouvernement à Damas, malgré des épisodes d'instabilité et de violence sectaire qui ont entamé la confiance envers les nouveaux dirigeants du pays".

La visite prévue à la Maison-Blanche de M. Chareh est "un témoignage supplémentaire de l'engagement des États-Unis envers la nouvelle Syrie et un moment hautement symbolique pour le nouveau dirigeant du pays, marquant ainsi une nouvelle étape dans sa transformation étonnante de chef militant en homme d’État mondial", ajoute l'analyste.

lk-jj-bfi/mba

© Agence France-Presse

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00:41 Le président syrien Ahmad al-Chareh arrive aux Etats-Unis (média d’Etat)

Le président syrien, Ahmad al-Chareh, est arrivé aux États-Unis samedi pour une visite officielle, a rapporté l'agence de presse officielle de son pays, au lendemain du retrait de M. Chareh de la liste noire américaine du terrorisme.

Le président syrien intérimaire, dont les forces rebelles ont renversé le dirigeant de longue date Bachar al-Assad en fin d'année dernière, doit rencontrer au cours de sa visite le président américain, Donald Trump.

Lors de cette visite historique, Damas devrait signer un accord pour rejoindre la coalition internationale antijihadiste emmenée par les États-Unis, selon l'émissaire américain pour la Syrie, Tom Barrack.

Le groupe jihadiste État Islamique (EI) a été défait en 2019 en Syrie par la coalition et les Forces démocratiques syriennes (FDS), conduites par les Kurdes, qui négocient actuellement leur intégration dans l'armée syrienne.

Les États-Unis pour leur part prévoient d'établir une base militaire près de Damas, a indiqué à l'AFP une source diplomatique en Syrie. 

Le pays, sorti de plus de 13 ans de guerre civile, cherche aussi à garantir des fonds pour sa reconstruction, un chantier dont le coût pourrait dépasser les 216 milliards de dollars (187 milliards d'euros), selon la Banque mondiale.  

Jeudi, le Conseil de sécurité de l'ONU a levé les sanctions contre M. Chareh, qui jusqu'à présent avait besoin d'une exemption des Nations unies pour chaque déplacement international.

Donald Trump avait déjà rencontré le dirigeant syrien pendant un voyage dans le Golfe en mai et avait annoncé la levée des sanctions américaines contre la Syrie.

Les deux hommes vont également évoquer les négociations directes entamées par les autorités syriennes avec Israël.

M. Trump avait pressé en mai le dirigeant syrien de rejoindre les accords d'Abraham, qui avaient vu plusieurs pays arabes reconnaître Israël en 2020.

lk-jj/bfi/mba

© Agence France-Presse

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Le président syrien, Ahmad al-Chareh, est arrivé aux États-Unis samedi pour une visite officielle, a rapporté l'agence de presse officielle de son pays, au lendemain du retrait de M. Chareh de la liste noire américaine du terrorisme.
Le président syrien intérimaire, dont les forces rebelles ont renversé le dirigeant de longue date Bachar al-Assad en fin d'année dernière, doit rencontrer au cours de sa visite le président américain, Donald Trump.
Lors de cette visite historique, Damas devrait signer un accord pour rejoindre la coalition internationale antijihadiste emmenée par les États-Unis, selon l'émissaire américain pour la Syrie, Tom Barrack.
Le groupe jihadiste État Islamique (EI) a été défait en 2019 en Syrie par la coalition et les Forces démocratiques syriennes...

La région est sous haute tension...

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23:41 Le chef de l'armée israélienne promet de ramener le corps d'un soldat tué à Gaza en 2014

Le chef de l'armée israélienne s'est engagé samedi à rapatrier les restes d'un officier tué en 2014 à Gaza, après des informations de presse selon lesquelles le Hamas a récupéré sa dépouille dans une zone contrôlée par Israël. 

Le lieutenant général Eyal Zamir a rencontré dans la soirée la famille du lieutenant Hadar Goldin, tué lors d'une précédente guerre à Gaza en 2014 et "l'a mise au courant des informations connues à ce jour", a indiqué l'armée dans un communiqué, sans préciser quelles étaient ces informations. 

Plusieurs médias israéliens ont rapporté qu'Israël avait autorisé des membres du Hamas et de la Croix-Rouge à mener des recherches dans un tunnel  dans une partie de la ville de Rafah  contrôlée par l'armée israélienne, dans le sud de la bande de Gaza. 

Ni l'armée israélienne ni le Hamas n'ont réagi officiellement. 

Selon l'armée israélienne, Hadar Goldin a été tué à 23 ans le 1er août 2014, lors d'une mission avec son unité de reconnaissance dans un tunnel près de Rafah lors d'une précédente guerre dans la bande de Gaza.

Il fait partie des cinq otages morts toujours retenus à Gaza et dont le Hamas doit encore rendre les corps à Israël en vertu de l'accord de cessez-le-feu entré en vigueur le 10 octobre. 

Auprès de la famille de Hadar Goldin, le chef d'état-major de l'armée a "souligné son engagement" à ramener sa dépouille en Israël ainsi que celles de tous les otages morts, a ajouté l'armée.  

Les autres sont trois Israéliens et un Thaïlandais, tous enlevés morts lors de l'attaque du Hamas en Israël du 7 octobre 2023 qui a déclenché la guerre à Gaza.

Depuis le début de la trêve à Gaza, le mouvement islamiste palestinien a libéré les derniers 20 otages vivants du 7-Octobre et rendu les dépouilles de 23 des 28 captifs morts toujours retenus. 

En échange, Israël a libéré près de 2.000 prisonniers palestiniens, et rendu les corps de 15 Palestiniens tués pour chaque otage israélien décédé rendu. 

jd/smw/cab

© Agence France-Presse

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