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19:19 Yémen: un tribunal des Houthis condamne 17 personnes à mort pour espionnage (médias houthis)

Un tribunal des Houthis a condamné à mort 17 personnes pour espionnage au profit d'Israël, des Etats-Unis et de l'Arabie saoudite, a indiqué samedi un média officiel des rebelles yéménites.

Selon l'agence de presse Saba, contrôlée par les Houthis, ces condamnations ont été prononcées par un tribunal de Sanaa dans le cadre d'affaires "impliquant des cellules d'espionnage faisant partie d'un réseau de renseignement au service des Américains, des Israéliens et des Saoudiens".

bur-gl/hme

© Agence France-Presse

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Un tribunal des Houthis a condamné à mort 17 personnes pour espionnage au profit d'Israël, des Etats-Unis et de l'Arabie saoudite, a indiqué samedi un média officiel des rebelles yéménites.


Selon l'agence de presse Saba, contrôlée par les Houthis, ces condamnations ont été prononcées par un tribunal de Sanaa dans le cadre d'affaires "impliquant des cellules d'espionnage faisant partie d'un réseau de renseignement au service des Américains, des Israéliens et des Saoudiens".


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19:02 Guerre en Ukraine   Rubio et Witkoff dimanche à Genève pour discuter du plan de Trump avec des responsables Ukrainiens

Le secrétaire d'Etat Marco Rubio et l'émissaire diplomatique de Donald Trump, Steve Witkoff, doivent arriver dimanche à Genève pour discuter du plan du président américain avec les Ukrainiens, a confirmé à l'AFP un responsable américain.

Ce responsable a également indiqué que le secrétaire américain à l'Armée Daniel Driscoll, qui a été reçu jeudi à Kiev par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, était lui déjà arrivé samedi dans la ville suisse. « Nous aurons une pré-réunion informelle ce (samedi) soir autour d'un dîner » entre Américains et Ukrainiens, a-t-il précisé.

Des responsables européens sont également attendus dimanche en Suisse pour discuter de ce plan mais aucune précision n'a encore été donnée sur le format des discussions.

Ce document en 28 points est vu avec une grande inquiétude à Kiev puisqu'il reprend plusieurs exigences clés de la Russie, à savoir que l'Ukraine lui cède des territoires, accepte une réduction de la taille de son armée et renonce à intégrer l'Otan. Il offre cependant des garanties de sécurité occidentales à Kiev pour prévenir toute nouvelle attaque russe.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a repoussé vendredi ce plan, que Donald Trump et Vladimir Poutine le pressent d'accepter, assurant qu'il allait proposer des « alternatives » aux Américains.

M. Zelensky a de son côté signé un décret formant la délégation qui sera chargée de participer aux pourparlers avec Washington, et dans le futur avec Moscou. Celle-ci sera menée par son bras droit, le chef de la présidence Andriï Iermak, et comprendra entre autres secrétaire du Conseil de sécurité ukrainien, Roustem Oumerov, les chefs des services de sécurité et de renseignement et le chef d'état-major. Soit une délégation essentiellement militaire.

Donald Trump a donné jusqu'au 27 novembre, jour de la fête de Thanksgiving, à M. Zelensky pour donner sa réponse aux solutions proposées. « Il faudra bien que (ce plan, NDLR) lui plaise, et si cela ne lui plaît pas, alors, vous savez, ils n'auront qu'à continuer à se battre », a lancé le dirigeant américain.

Vladimir Poutine a de son côté estimé vendredi que le texte américain « pouvait servir de base à un règlement pacifique définitif » du conflit lancé en 2022. Il s'est dit prêt à une « discussion approfondie de tous les détails » du texte élaboré par Washington. En cas de refus ukrainien, il a menacé de poursuivre les conquêtes territoriales sur le front, où son armée a l'avantage.

Réunis au sommet du G20 à Johannesbourg, 11 pays principalement européens ont estimé dans une déclaration que le plan américain « requerra du travail supplémentaire », craignant qu'il ne laisse l'Ukraine « vulnérable à de futures attaques ».

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18:55 COP30   En Amazonie, le monde adopte un accord a minima sur la coopération pour le climat

Près de 200 pays réunis en Amazonie brésilienne ont adopté samedi à la COP30 un modeste consensus sur l'action climatique, sans plan de sortie des énergies fossiles, un résultat décevant pour l'Europe mais jugé prévisible dans une année bouleversée par les rivalités géopolitiques. « La science a prévalu, le multilatéralisme à gagné », a déclaré avant même l'adoption le président brésilien Lula depuis Johannesburg.

Le président brésilien de la conférence André Correa do Lago a fait adopter le texte par consensus lors de la séance de clôture, au lendemain de la fin prévue du sommet.

La décision célèbre l'accord de Paris et la coopération climatique. Mais il n'appelle à accélérer l'action que de façon « volontaire », et ne fait qu'une référence indirecte à la sortie des énergies fossiles, en rappelant le consensus de la COP28 à Dubaï, et sans écrire les mots explicitement. Ce qui est loin du plan un temps réclamé par plus de 80 pays européens, latino-américains ou insulaires.

« Nous devons le soutenir car, au moins, il nous emmène dans la bonne direction », a déclaré auparavant le commissaire européen au climat Wopke Hoesktra après une nuit de négociations et une réunion de coordination avec les Vingt-Sept. « Nous n'allons pas cacher que nous aurions préféré davantage, et plus d'ambition sur tout ».

La ministre française Monique Barbut a ajouté que les Européens avaient préféré accepter ce texte en raison du « procès qui était fait aux Européens, qui était de dire qu'une des raisons pour lesquelles on s'opposait à ce texte, c'était parce qu'on ne voulait pas payer de l'argent pour les pays les plus pauvres. » Le chef de la délégation chinoise, Li Gao, a salué un « succès dans une situation très difficile ».

En 2023, les pays s'étaient engagés à « opérer une transition juste, ordonnée et équitable vers une sortie des combustibles fossiles dans les systèmes énergétiques », pour la première fois dans l'histoire des conférences sur le climat de l'ONU. 

Depuis, les pays qui produisent ou dépendent des énergies fossiles repoussent toutes les tentatives de répéter ce signal dans le cadre multilatéral.

L'analyste Li Shuo, de l'Asia Society à Washington, voit dans ce résultat un nouveau « point d'inflexion dans la politique climatique mondiale ». « Alors que l’ambition climatique nationale ralentit, les négociations internationales sont désormais limitées par une volonté politique en déclin. Lorsque les États-Unis se retirent, les autres acteurs deviennent prudents et indécis », déclare-t-il à Belem.

La combustion du pétrole, du gaz et du charbon sont largement responsables du réchauffement planétaire. Des pays comme la Russie, l'Arabie saoudite ou l'Inde ont été désignés par la France comme menant le camp du refus, mais ils ne sont pas seuls. Une partie du monde en développement n'avait pas comme priorité la bataille contre les fossiles en arrivant au Brésil il y a deux semaines. Pour eux, les financements sont plus urgents, et la COP30 leur livre un petit gain.

Le texte de compromis prévoit un triplement de l'aide financière pour l'adaptation des pays en développement à l'horizon 2035, par rapport à l'objectif actuel de 40 milliards par an.

Ces pays expliquent que de nombreuses économies, pauvres ou émergentes, n'ont pas les moyens de passer aux énergies renouvelables demain, ou tout simplement d'adapter leurs villes ou leurs agricultures à un climat déréglé. Ils réclament des pays les plus riches des engagements financiers supplémentaires pour aider les nations qui le sont moins.

Mais est-ce assez ? « Pas vraiment. Mais les négociations intergouvernementales travaillent sur le plus petit dénominateur commun. Mais notre combat continue », dit à l'AFP un négociateur du Bangladesh.

Européens isolés

L'accord prévoit d'instituer un « dialogue » sur le commerce mondial, une première dans les négociations climatiques. La Chine, qui mène la fronde des pays émergents contre les taxes carbone aux frontières, en avait fait sa priorité. La présidence brésilienne aura jusqu'au bout refusé d'inclure dans son texte la création d'une « feuille de route » sur la sortie des énergies fossiles, pourtant prônée par le président brésilien Lula lui-même sur place.

L'UE avait brandi vendredi la perspective de partir de Belem « sans accord ». Cela aurait signé un échec retentissant pour l'hôte, le Brésil, et pour une conférence organisée dans l'une des régions emblématiques des questions environnementales posées à la planète, l'Amazonie.

Mais les Européens se seraient retrouvés « isolés », selon le membre d'une délégation d'un des 27. Ces derniers n'ont pas voulu apparaître comme responsables d'une catastrophe diplomatique au moment où ils cherchent à maintenir en vie le régime climatique mondial.

« Ceux qui doutent que la coopération soit la meilleure chose à faire pour le climat seront absolument ravis de voir qu'on n'arrive pas à nous mettre d'accord », avait prévenu le président de la COP30, le diplomate brésilien André Corrêa do Lago.

Les pays doivent maintenant adopter lors d'une séance de clôture ce texte.

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