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16:59 Sécurité   France: enquête après un vol de drone au dessus d'un convoi de chars Leclerc

La police française a ouvert une enquête mercredi après le survol la veille d'un drone au dessus du commissariat de Mulhouse (est) et d'une gare où se trouvait un convoi transportant des chars Leclerc, a-t-on appris de source policière.

Des incidents impliquant des drones se sont multipliés ces dernières semaines, aussi bien en France qu'en Europe, où la main de la Russie a été évoquée malgré les démentis de Moscou. La sécurité est actuellement renforcée sur tout le territoire français en raison de la commémoration des attentats islamiste du 13 novembre 2015 mais aussi d'un contexte géopolitique perturbé.

« Au moins deux allers-retours » ont été « observés au-dessus » du commissariat central, a précisé la source policière. L'engin n'a pas été identifié à ce stade, selon la source policière. Un convoi de chars Leclerc de retour d'un exercice militaire stationnait dans la gare, a indiqué une source militaire.

Lundi, une enquête a ainsi été ouverte après le survol illégal à Bergerac (sud-ouest) d'un site de la société Eurenco, qui produit de la poudre à propulsion d'obus. Le survol d'Eurenco est dû à « un drone du commerce classique, type DJI, donc de volume raisonnable », a souligné le général Marc Le Bouil, commandant chargé d'assurer la protection de l'espace aérien français, mercredi devant les députés.

Fin septembre, la base militaire de Mourmelon dans la Marne (nord-est), où ont été formés des soldats ukrainiens, avait aussi fait l'objet de survols de drones. « La difficulté, c'est d’être sûr de ce qu'on a vu », a affirmé le général Le Bouil, à propos des signalements de vols de ces engins à proximité de sites sensibles. « De nuit, j'ai vu un certain nombre de bases où des personnes voyaient des drones et qui correspondaient aux traces radar des avions de ligne qui passent à la verticale de la base », a-t-il dit.

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16:35 France   La justice française refuse une nouvelle fois l'extradition du beau-frère de Ben Ali

La cour d'appel de Paris a rendu mercredi un avis défavorable à l'extradition vers la Tunisie de Belhassen Trabelsi, beau-frère de l'ex-dictateur Ben Ali.

La cour d'appel d'Aix-en-Provence (sud) avait déjà rendu un avis similaire en 2021. 

« La justice française ne fait qu'appliquer le droit et entérine les dysfonctionnements systémiques de la justice tunisienne : la Tunisie n'est pas un Etat de droit », a commenté pour l'AFP mercredi l'avocat de M. Trabelsi, Me Marcel Ceccaldi. 

Lors de la révolution de 2011 qui a provoqué la chute de Zine el Abidine Ben Ali, Belhassen Trabelsi, 63 ans aujourd'hui, avait fui le pays pour s'installer au Canada qu'il avait quitté en 2016 après le refus d'Ottawa de lui octroyer l'asile politique. 

Interpellé en mars 2019 en France, il y a été inculpé pour « blanchiment en bande organisée, recel, usage et complicité de faux documents administratifs ». 

La Tunisie le réclame pour cinq affaires qui ont déjà valu à M. Trabelsi d'être condamné par défaut à plusieurs années de prison pour des infractions économiques et financières. 

Belhassen Trabelsi avait déposé un dossier en 2016 auprès de l'organisme de justice transitionnelle tunisien, l'Instance vérité et dignité (IVD), afin d'obtenir une réconciliation en contrepartie d'un remboursement de fonds détournés. 

Il avait proposé un milliard de dinars (350 millions d'euros), selon l'IVD, mais l'arbitrage n'a pas abouti.

Le clan du dictateur Zine el Abidine Ben Ali s'était accaparé des pans entiers de l'économie tunisienne, captant notamment 21% des bénéfices du secteur privé tunisien en 2010, selon la Banque mondiale.

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16:33 Nucléaire iranien   L'AIEA appelle l'Iran à l'autoriser à vérifier ses inventaires de matières nucléaires « dès que possible »

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a appelé l'Iran à l'autoriser à vérifier ses inventaires de matières nucléaires « dès que possible », et en particulier ses réserves d'uranium hautement enrichi, selon un rapport confidentiel consulté par l'AFP mercredi.

L'AIEA a souligné avoir perdu la continuité de ses connaissances sur les inventaires précédemment déclarés depuis la guerre de 12 jours déclenchée le 13 juin par une attaque d'Israël contre l'Iran. Elle juge « crucial » de pouvoir vérifier ces inventaires « dès que possible afin de dissiper ses préoccupations », selon ce rapport.

Le gendarme onusien du nucléaire rappelle qu'au 13 juin, date qui correspond au début de la guerre, le total des réserves iraniennes d'uranium enrichi à 60%, -seuil proche des 90% nécessaires pour fabriquer une arme nucléaire-, s'élevait à 440,9 kg, soit une hausse de 32,3 kg par rapport au 17 mai. 

La quantité de matière fissile, que l'AIEA n'a pas pu vérifier ces derniers mois, « est une source de préoccupation sérieuse et une question de conformité à l'accord de garanties » du Traité de non prolifération nucléaire (TNP) auquel l'Iran adhère depuis 1970.

L'attaque israélienne contre des sites iraniens supposés servir avait été suivie le 22 juin de frappes américaines visant spécifiquement le site souterrain d'enrichissement d'uranium iranien de Fordo. L'étendue précise des dégâts n'est pas connue.

L'AIEA souligne encore « qu'il est indispensable et urgent » que l'Iran mette en oeuvre les activités de garanties, conformément à l'accord de garanties du TNP, « qui reste en vigueur » et dont l' »application ne peut être suspendue sous aucun prétexte ».

L’article III du TNP impose à chaque État non doté d’armes nucléaires de conclure un accord de garanties généralisées (AGG) pour permettre à l'AIEA de vérifier qu’il respecte l'obligation de ne utiliser l'énergie nucléaire à des fins autres que pacifiques.

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