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13:22 Diplomatie   Entretien entre dirigeants européens sur l'Ukraine

Dernières Infos - Diplomatie

Entretien entre dirigeants européens sur l'Ukraine

AFP / le 30 décembre 2025 à 13h22

Sur cette photo diffusée par le service de presse de la 65e brigade mécanisée des forces armées ukrainiennes le 29 décembre 2025, des recrues ukrainiennes participent à un entraînement militaire de base dans un lieu tenu secret de la région de Zaporijia, en pleine invasion russe de l'Ukraine. Photo Andriy Andriyenko / 65e brigade mécanisée des forces armées ukrainiennes / AFP

Plusieurs dirigeants européens s'entretenaient mardi matin sur la situation en Ukraine, ont annoncé leurs équipes. Parmi les participants: le Premier ministre polonais Donald Tusk et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Leurs équipes n'ont pas donné davantage de précisions sur l'objet de cet appel, organisé à 11H00 (10H00 GMT). Cet entretien s'inscrit dans la suite des intenses tractations diplomatiques en cours depuis novembre pour tenter de mettre fin au conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale.

Volodymyr Zelensky et des négociateurs de Kiev se sont entretenus lundi par téléphone avec l'envoyé américain Steve Witkoff, dans la foulée de l'entretien entre le président ukrainien et son homologue américain Donald Trump, et des échanges avec des dirigeants européens qui l'ont suivi.

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Plusieurs dirigeants européens s'entretenaient mardi matin sur la situation en Ukraine, ont annoncé leurs équipes. Parmi les participants: le Premier ministre polonais Donald Tusk et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Leurs équipes n'ont pas donné davantage de précisions sur l'objet de cet appel, organisé à 11H00 (10H00 GMT). Cet entretien s'inscrit dans la suite des intenses tractations diplomatiques en cours depuis novembre pour tenter de mettre fin au conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Volodymyr Zelensky et des négociateurs de Kiev se sont entretenus lundi par téléphone avec l'envoyé américain Steve Witkoff, dans la foulée de l'entretien entre le président ukrainien et son homologue américain Donald Trump, et des échanges avec...

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13:18 Conflit   Attaque de drones sur une résidence de Poutine: Kiev pointe l'absence de preuve

L'Ukraine a pointé mardi l'absence de preuves étayant les accusations de Moscou sur une attaque de Kiev contre l'une des résidences de Vladimir Poutine, tandis que la Russie a averti que cette attaque allait entraîner un durcissement de sa position dans les pourparlers. « Près d'une journée s'est écoulée et la Russie n'a toujours pas fourni de preuves plausibles à l'appui de ses accusations selon lesquelles l'Ukraine aurait attaqué la résidence de Poutine » dans la région de Novgorod, a déclaré M. Sybiga sur les réseaux sociaux, assurant qu' »aucune attaque de ce type n'a eu lieu ». « Nous avons été déçus et préoccupés de voir les déclarations des parties émiratie, indienne et pakistanaise exprimant leurs inquiétudes au sujet d’une attaque qui n’a jamais eu lieu », a poursuivi M. Sybiga.

Le Premier ministre indien Narendra Modi s'est notamment dit mardi, sur X, « profondément préoccupé par des informations faisant état » d'une attaque ayant visé la résidence du président russe. « De telles réactions face aux affirmations manipulatrices et infondées de la Russie ne font que servir la propagande russe et encourager Moscou à commettre davantage d’atrocités et de mensonges », a-t-il ajouté, estimant que « cela sape le processus de paix constructif qui progresse actuellement ».

Moscou a accusé lundi Kiev d'avoir visé dans la nuit de dimanche à lundi avec 91 drones une résidence de Vladimir Poutine située entre Moscou et Saint-Pétersbourg. Cette accusation intervenait au lendemain d'une rencontre en Floride entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue américain Donald Trump, qui pousse à une résolution du conflit près de quatre ans après le début de l'invasion russe de l'Ukraine.

Lors de son briefing quotidien mardi, auquel a participé l'AFP, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov n'a pas fourni de preuve, assurant que les drones avaient tous été abattus et qu'il faudrait de ce fait s'adresser au ministère russe de la Défense concernant la présence d'éventuels débris. « Les conséquences (de cette attaque) se traduiront par un durcissement de la position de négociation de la Fédération de Russie », a-t-il prévenu. « Quant à une réaction militaire, nous savons comment et avec quoi répondre », a-t-il ajouté.

Volodymyr Zelensky a qualifié lundi ces accusations de « mensonge » destiné selon lui à préparer de nouvelles attaques contre Kiev et à « saper » les efforts diplomatiques entre l'Ukraine et les Etats-Unis. « Je n'aime pas ça. Ce n'est pas bon », a de son côté réagi Donald Trump lundi soir depuis sa résidence de Mar-a-Lago, à Palm Beach. « Vous savez qui m'en a parlé ? Le président Poutine », a-t-il dit. « C'est une période délicate. Ce n'est pas le bon moment », a-t-il ajouté. Ces accusations jettent le doute sur la poursuite des tractations diplomatiques engagées depuis novembre pour tenter de mettre fin au conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale.

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13:02 Sécurité   L'Iran désigne la marine canadienne comme une « organisation terroriste »

Téhéran a annoncé mardi avoir désigné la Marine royale canadienne comme « organisation terroriste », en riposte à une décision similaire du Canada en 2024 visant les gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de l'Iran. Le ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué que cette mesure, prise en juin 2024, était « contraire aux principes fondamentaux du droit international ». « Dans le cadre de la réciprocité », l'Iran « déclare la Marine royale canadienne organisation terroriste », ajoute Téhéran, sans préciser clairement quelles seraient les conséquences pour la marine.

Le Canada avait justifié l'inscription des gardiens de la Révolution sur la liste des entités « terroristes » en disant que l'Iran faisait « preuve de mépris pour les droits de l'Homme » et avait démontré une « volonté de déstabiliser l'ordre international ». En vertu de cette mesure, Ottawa a pu geler les biens et poursuivre en justice les membres de l'organisation. Cette décision était survenue dans un contexte de grande tension depuis plusieurs années entre les deux pays.

Le Canada, comme plusieurs autres pays, poursuit l'Iran devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour que Téhéran soit tenu légalement responsable d'avoir abattu un Boeing ukrainien en 2020. Le 8 janvier 2020, le vol PS752 de la compagnie Ukraine International Airlines, effectuant une liaison entre Téhéran et Kiev, avait été abattu peu après son décollage, provoquant la mort de 176 personnes, en majorité des Iraniens et des Canadiens.

Les gardiens de la Révolution avaient reconnu que leurs forces avaient abattu l'avion, tout en affirmant que leurs contrôleurs l'avaient pris pour une cible hostile. Depuis le mouvement de contestation déclenché en Iran par la mort de Mahsa Amini en 2022, décédée en détention après avoir été arrêtée pour avoir prétendument enfreint le code vestimentaire, Ottawa a pris plusieurs séries de sanctions contre des organisations et responsables iraniens accusés d'être complices des autorités.

Le Canada a notamment banni de son territoire 10.000 responsables iraniens, dont les membres des gardiens de la Révolution. Ottawa avait rompu ses relations diplomatiques avec Téhéran en 2012, qualifiant l'Iran de « la menace la plus importante pour la paix mondiale ».

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