Les 191 pays réunis à Belem du 10 au 21 novembre doivent avancer sur de nombreux fronts : réduction des émissions de gaz à effet de serre, sortie des énergies fossiles, financements climatiques… Une gageure dans un monde où la lutte contre le réchauffement est attaquée.
Le géant sud-américain compte être un pont entre les pays émergents et les pays du Nord, et mettre l’accent sur la mise en œuvre des acquis des COP précédentes. Mais il lui faudra déployer des trésors de diplomatie pour faire vivre le multilatéralisme climatique dans un contexte tendu.
Les Vingt-Sept maintiennent leur objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 90 % en 2040 par rapport à 1990, en l’assortissant de marges de manœuvre supplémentaires pour les Etats.