L’excès de mortalité a surtout concerné les régions Nouvelle-Aquitaine et Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui enregistrent « chacune au moins 90 décès en excès », selon l’agence sanitaire.
Dans une tribune au « Monde », deux professionnels du monde animal alertent sur la « vulnérabilité des non-humains face à la brutalité du changement climatique », et dressent un bilan alarmant des effets de la canicule sur la faune sauvage.
L’Institut national de l’information géographique et forestière entend ainsi « mieux éclairer la gestion des cours d’eau » et « repenser les espaces et le rôle des solutions naturelles ».