En exposant ses orientations budgétaires à la mi-juillet, le premier ministre, François Bayrou, avait évoqué la fraude aux aides publiques, que Catherine Vautrin évalue à 13 milliards d’euros.
Plusieurs organisations internationales d’auteurs, d’artistes-interprètes, d’éditeurs ou de producteurs expriment leur désillusion concernant le règlement européen sur l’intelligence artificielle, qui entre partiellement en vigueur le 2 août, et qui, selon eux, ne protège pas la propriété intellectuelle.
Le pic des embouteillages de cette journée classée noire dans le sens des départs par Bison futé a été atteint à 12 h 05, avec un cumulé de 1 078,9 kilomètres. C’est l’arc méditerranéen qui a été le plus touché avec un volume maximal de bouchons de 314 kilomètres cumulés atteint vers midi.
Le texte suivant, à l’exception des trois derniers paragraphes, a été rédigé par une intelligence artificielle, à partir d’instructions humaines. Peut-elle se substituer à l’auteur d’un texte d’opinion ou simplement en produire une version crédible, s’interroge, dans une tribune au « Monde », Anton Greefhorst, économiste et informaticien.
Des pans-clés de la législation européenne régissant l’intelligence artificielle deviennent effectifs samedi 2 août. Washington et les géants américains de la tech n’ont pas renoncé à leur offensive coordonnée contre ce texte en particulier et la régulation européenne du numérique en général.
Le constructeur conteste avoir une part de responsabilité dans cet accident survenu en 2019 en Floride, provoqué par l’imprudence du conducteur de l’un de ses modèles qui disposait de l’assistance Autopilot.
Les créations d’emplois en juillet aux Etats-Unis sont 27 % en deçà des prévisions et celles de mai et de juin ont été revues drastiquement à la baisse, provoquant une chute de Wall Street. Pour de nombreux économistes, ce tournant est un signal d’alarme.
Le président américain a adressé une lettre en forme d’ultimatum aux 17 plus grandes entreprises du secteur, dont le français Sanofi. La Maison Blanche les incite à rehausser leurs prix hors des Etats-Unis, en particulier en Europe.
Jusqu’alors, Pristina payait un tarif de 10 % sur ses exportations de marchandises à destination des Etats-Unis tandis que les droits de douane sur les produits américains importés étaient également de 10 %.
Le géant sud-asiatique, deuxième importateur mondial d’armement, a entrepris de mettre fin à sa dépendance de l’industrie étrangère pour ses équipements militaires. Une ambition qui s’accélère depuis le conflit indo-pakistanais du mois de mai.