Le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni entend réhabiliter ce courant, qui avait pour objet d’exalter la vitesse, la puissance, le mouvement industriel, et s’était trouvé des affinités avec le fascisme.
Forgé dans les années 1930 par le penseur communiste italien Antonio Gramsci, le concept d’« hégémonie culturelle » est aujourd’hui revendiqué par le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni, comme il l’avait été, dans les années 1970-1980, par l’intellectuel français de la nouvelle droite Alain de Benoist.
Entre provocations et revirements, la stratégie du président des Etats-Unis reste confuse. Mais pour contrer son offensive commerciale et financière, l’économiste estime, dans sa chronique au « Monde », qu’il faudrait promouvoir un système monétaire multipolaire où le dollar serait rejoint par l’euro et le renminbi (yuan).
Comme l’illustre le récent déferlement sur les réseaux sociaux d’images générées avec ChatGPT plagiant le style du studio d’animation de Hayao Miyazaki, le monde de la création, qui pensait contrôler l’intelligence artificielle, est complètement débordé et pillé, analyse Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde », dans sa chronique.
Devenu parachutiste au sein du Special Air Service britannique pendant la seconde guerre mondiale, le professeur de philosophie disciple d’Emmanuel Mounier fait l’objet d’une riche biographie.
Le terreau semble fertile pour l’irruption d’un grand patron sur la scène politique hexagonale. L’expérience d’Emmanuel Macron, surgi comme un ovni sur la plus haute marche du pouvoir en 2017, fait rêver les plus audacieux.
Le monde post-1945 a assuré la paix en Europe, mais a également généré un système de conflictualité dans le reste du monde, rappelle la spécialiste de l’histoire contemporaine dans une entretien au « Monde ». Quatre-vingts ans après la fin de la seconde guerre mondiale, un Occident qui semblait dicter son message au monde s’est déchiré le 28 février 2025.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de 34 députés du groupe Ecologiste et social estime que ce texte est un « recul démocratique majeur » au nom de la compétitivité.
Emmanuel Macron a accompli, au nom de la France, un geste important, en admettant publiquement le 17 avril que la décision de forcer la jeune République d’Haïti au paiement d’une somme exorbitante pour indemnité de son émancipation avait livré celle-ci à la « force injuste de l’histoire ».
Dans une tribune au « Monde », le membre de la commission des affaires étrangères au Parlement européen appelle de ses vœux une UE consciente de ses forces et capable de s’émanciper d’un choix qu’il estime évitable entre Donald Trump et Xi Jinping.