Le procès du cimentier pour « financement du terrorisme » a été renvoyé au 18 novembre du fait d’une irrégularité dans l’ordonnance de renvoi. Une bévue parmi tant d’autres soulevées à l’audience, mercredi, par les avocats de la défense.
En trente-cinq minutes de tour en voiture, le conducteur a volontairement renversé cinq piétons et cyclistes. Bien qu’il ait crié « Allahou akbar ! », il n’est pas connu pour radicalisation. Le Parquet national antiterroriste reste en observation pour le moment.
Le tribunal correctionnel de Paris a constaté, mercredi, « l’irrégularité de l’ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel » concernant un des prévenus, Bruno Pescheux, à la tête de la filiale syrienne de Lafarge de 2008 à 2014.
Devant la cour d’assises spéciale de Paris, la journée de mercredi a été consacrée au cas clinique de l’accusé, qui, en 2020, a poignardé à mort deux personnes et blessé quatre autres. Un psychologue et trois psychiatres se sont succédé.
Trois cars à destination de Bourges, Besançon et Toulouse avaient été mobilisés pour transporter les volontaires vers des hébergements temporaires. Mais l’association Médecins du monde estime que 150 personnes sont restées sans solution, certains ne pouvant pas quitter Paris.
Les activités de construction du groupe Bouygues ont vu leur résultat opérationnel des neuf premiers mois de l’année 2025 croître de 24 %. Mais la santé de l’ensemble des entreprises du BTP est plus contrastée : si l’immobilier résidentiel reprend, les créations de bureaux et l’activité de rénovation énergétique souffrent. Le secteur aura perdu autour de 30 000 emplois en 2025.