Alors que les associations sont confrontées à une baisse des financements, qui risque de s’accentuer selon le projet de budget 2026, des fonds et fondations se mobilisent, voire se créent, pour mieux les soutenir.
Le bugdet du gouvernement prévoit une réduction de 4 000 postes de titulaires en 2026, dans un contexte de baisse du nombre d’élèves. En commission, les députés soutiennent massivement un abandon de ces suppressions, tandis que les sénateurs approuvent leur doublement.
Le Secours catholique, APF France Handicap, Aides, Unis-Cité… les plans sociaux sont devenus communs ces derniers mois. Non parce que les besoins de la population baissent, mais parce que les coûts augmentent.
Les deux propositions de loi, sur les soins palliatifs et la création d’une aide à mourir, ont été votées à la fin de mai en première lecture à l’Assemblée, mais la chute du gouvernement de François Bayrou a reporté leur examen au Sénat.
L’amende de l’Autorité de la concurrence sanctionne notamment les clauses d’exclusivité que l’entreprise imposait aux soignants désireux de souscrire à la plateforme de rendez-vous en ligne ou à son service de téléconsultation.
« Mediapart » et « Libération » ont publié, mercredi, des images accablant les forces de l’ordre, tirées de leurs propres caméras-piétons lors de leur intervention face aux opposants à une mégabassine, en 2023. Une enquête administrative a été ouverte.
Dans l’Hémicycle comme sur le terrain, l’évolution de l’objectif national de dépenses d’assurance-maladie est jugée insuffisante au vu des besoins. Le gouvernement a promis un geste.
Les politiques publiques des pays occidentaux échouent à répondre sérieusement au déclin démographique et au désordre climatique, observe Marie Charrel, dans sa chronique au « Monde ».
Le CGLPL dénonce des « dysfonctionnements graves » dans le traitement des migrants par la police à la frontière franco-italienne, ainsi qu’un manque de personnel.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de soignants alerte sur la fermeture des salles de consommation à moindre risque, prévue le 31 décembre, qui marquerait un recul historique. Ils rappellent que ces structures ne s’opposent ni au soin ni à l’abstinence.
Le procès du cimentier pour « financement du terrorisme » a été renvoyé au 18 novembre du fait d’une irrégularité dans l’ordonnance de renvoi. Une bévue parmi tant d’autres soulevées à l’audience, mercredi, par les avocats de la défense.
En trente-cinq minutes de tour en voiture, le conducteur a volontairement renversé cinq piétons et cyclistes. Bien qu’il ait crié « Allahou akbar ! », il n’est pas connu pour radicalisation. Le Parquet national antiterroriste reste en observation pour le moment.