Un groupe d’universitaires, d’artistes et de militants juifs répond, dans une tribune au « Monde », au texte de la sociologue publié le 18 décembre. Ils soulignent l’importance d’opérer « une critique nécessaire du sionisme ».
La déflagration a eu lieu lundi en début d’après-midi dans l’usine chimique Elkem Silicones à Saint-Fons. Trois autres personnes ont été blessées. Le parquet a ouvert une enquête pour « blessures involontaires par personne morale suivies d’incapacité supérieure à trois mois ».
Cette perquisition « a donné lieu à la saisie de certains éléments (…) dans leur garage », a déclaré, mardi, sur BFM-TV, Mᵉ Julien Pinelli, avocat de la grand-mère de l’enfant, refusant d’en préciser la nature.
La cour d’assises du Doubs a détaillé, lundi, les motivations de la condamnation à la réclusion à perpétuité prononcée contre le « tueur en série » pour les empoisonnements de 30 patients, dont 12 n’ont pas survécu.
De nombreux chercheurs constatent un regain du religieux chez les jeunes, associé à un certain rigorisme. Une quête de spiritualité corrélée aux inquiétudes véhiculées par l’époque et parfois par une quête identitaire.
Depuis un an, la direction reprochait à Madjouline B. de porter quotidiennement et en toutes circonstances un calot, équipement de protection en tissu, porté habituellement au bloc opératoire ou en réanimation.
La présidente du conseil régional, Huguette Bello, a demandé au gouvernement de ne pas retenir un amendement au projet de loi de finances proposant de créer une surtaxe locale sur les spiritueux. Une question de santé publique, pourtant, selon le chef du service d’addictologie du CHU de Saint-Denis, car l’alcoolisme fait des ravages dans l’île.
Avoir un travail ne permet pas toujours d’avoir un logement et de s’y maintenir. Alors que la flexibilité et la précarité de l’emploi progressent, les bailleurs et les banques multiplient les exigences de garanties.
Bernard Bazinet est convoqué, mardi, à la sous-préfecture de Nontron pour avoir jugé la France « trop youpine ». Le ministre de l’intérieur envisage « de prendre des sanctions qui peuvent aller de la suspension à la révocation ».
Le document de 57 pages passent en revue les 30 cas d’empoisonnement reprochés à l’anesthésiste, accusé d’avoir pollué des poches de transfusion afin de nuire à des collègues.