Pour des représentants et des personnalités de la communauté musulmane, le meurtre d’Hichem Miraoui, samedi 31 mai, s’inscrit dans un « climat préoccupant et de plus en plus hostile envers les citoyens de confession musulmane en France ».
L’accusé, qui conteste toute intention homicide et estime que son tir était légitime, a fait appel de cette décision. La mort de l’adolescent, le 27 juin 2023, avait provoqué plusieurs nuits d’émeutes en France.