Le club de la capitale et le capitaine de l’équipe de France sont convoqués au tribunal, le 17 novembre, à Paris, dans le cadre du contentieux portant sur le non-versement de salaires et de primes au joueur.
L’entreprise et huit anciens employés sont poursuivis pour financement du terrorisme dans le cadre de l’activité d’une usine de ciment en Syrie, de 2012 à 2014.
Connu pour des délits de droit commun, le suspect a crié « Allahou Akbar ! » au moment de son interpellation, selon le procureur. Il a été placé en garde à vue pour tentatives d’assassinats et le Parquet national antiterroriste ne s’est pas saisi du dossier « à ce stade ».