Jean-Noël Barrot a appelé la PDG de la compagnie aérienne espagnole pour lui demander des « éléments d’explication », afin de « déterminer si ces compatriotes avaient fait l’objet de discriminations liées à leur confession ».
Un rapport du Contrôleur général des lieux de privation de liberté, datant du 4 juillet, avait une nouvelle fois alerté sur la situation de l’établissement pénitentiaire, marquée par une surpopulation endémique et des conditions sanitaires dégradées.
Le spectacle, initialement prévu à Dunkerque, avait été interdit par arrêté et reprogrammé au dernier moment dans une autre commune. Le préfet du Pas-de-Calais avait ensuite « pris un arrêté portant interdiction de cette représentation ».