De l’immigration à la guerre dans la bande de Gaza ou le gel de l’aide humanitaire internationale, les sujets de friction entre Washington et le Vatican ne manquent pas. La rencontre, samedi, entre le vice-président des Etats-Unis et le cardinal Parolin, numéro deux du Saint-Siège, devait en partie solder la dispute.
Dans un entretien au « Monde », l’ancienne ambassadrice de France à l’OTAN redoute la dévitalisation de l’Alliance atlantique en raison de la « vision révisionniste de l’ordre international » défendue par le président américain.
Six personnes transgenres et non binaires ont intenté une action en justice aux Etats-Unis pour obtenir des passeports avec des désignations de sexe conformes à leur identité de genre.
Le vice-président des Etats-Unis brandit son catholicisme comme un étendard, allant jusqu’à faire de sa foi une composante de la guerre culturelle lancée par l’administration de Donald Trump.
Entre provocations et revirements, la stratégie du président des Etats-Unis reste confuse. Mais pour contrer son offensive commerciale et financière, l’économiste estime, dans sa chronique au « Monde », qu’il faudrait promouvoir un système monétaire multipolaire où le dollar serait rejoint par l’euro et le renminbi (yuan).
Des critiques de la gestion de la pandémie par l’ancien président américain, Joe Biden, s’y affichent, et l’ex-architecte de la stratégie de Washington contre le virus, Anthony Fauci, est ciblé pour sa défense de l’origine naturelle du SARS-CoV-2.
Avant ce rendez-vous, une plateforme baptisée « Choose France for Science » a été lancée jeudi par le gouvernement. Il la présente comme « une première étape pour préparer l’accueil des chercheurs internationaux », alors que chercheurs et universités américaines sont dans le collimateur de l’administration Trump.
Sous l’impulsion du duo Donald Trump-Elon Musk, l’exécutif américain a annoncé de nombreux licenciements dans l’administration. Difficiles à suivre et à compter, ces coupes dans les effectifs révèlent les cibles prioritaires de la Maison Blanche.
Emmanuel Macron a rencontré le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, et des représentants ukrainiens et européens pour entamer des discussions sur la guerre en Ukraine.
L’administration américaine a reconnu que son expulsion résultait d’une « erreur administrative ». Mais elle se déclare dans l’incapacité d’y remédier, le père de famille étant désormais détenu par les autorités salvadoriennes.
En s’estimant dans l’impossibilité d’obtenir le retour d’un Salvadorien expulsé dans une prison de son pays d’origine à la suite d’une « erreur administrative », l’administration Trump défie une décision de la Cour suprême, et accroît les tensions avec le pouvoir judiciaire, tout en menant une bataille d’opinion sur la question de l’immigration.