Face à la pression de Washington, Ottawa renonce à la taxe sur les services numériques, une mesure qui visait principalement les groupes majeurs du secteur du numérique comme Google, Apple ou Meta.
Dans une tribune au « Monde », le professeur de droit public s’inquiète de la récente suppression, par la plus haute juridiction des Etats-Unis, des « injonctions universelles », un instrument qui permettait jusqu’alors de freiner l’expansion du pouvoir présidentiel.
Mi-juin, le président américain avait repoussé pour la troisième fois la date butoir pour la vente de la plateforme aux Etats-Unis par sa maison mère ByteDance. Il a déclaré dimanche qu’il en dirait plus dans « environ deux semaines ».