Les unions entre personnes gay ou lesbiennes sont garanties depuis 2015 par la Cour suprême, institution régulièrement appelée à trancher les grands débats de société dans le pays.
Le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme a exhorté, lundi, Washington à enquêter sur la légalité de ses frappes, relevant de « solides indices » d’exécutions « extrajudiciaires ».
Ces grâces sont en grande partie symboliques, aucune des personnes identifiées n’étant accusée de crimes fédéraux, seuls concernés par la grâce présidentielle.