Le dernier ouvrage de l’auteur belge est une déambulation dans son musée mental où cohabitent aplats vibrants, références artistiques et autocitations.
Dans un sensible seul en scène au théâtre de Belleville, l’Ukrainien Viktor Kyrylov raconte comment la guerre a fait naître chez lui un sentiment d’appartenance à son pays qu’il avait quitté pour s’installer à Moscou.