Dans une étude publiée ce mercredi 3 septembre dans la revue «Nature», des chercheurs ont pour la première fois cartographié les zones où injecter du dioxyde de carbone dans le sous-sol «sans risque» de déclencher des tremblements de terre ou de contaminer l’eau potable. Mais selon eux, la capture et le stockage de ce gaz ne permettraient pas d’empêcher des hausses mondiales de température.