Candidate trotskiste à l’élection présidentielle de 2023, Myriam Bregman dénonce dans une interview à «Libération» le «négationnisme» du président argentin, qui ne cesse de minimiser les crimes commis par la dictature militaire entre 1976 et 1983.
L’avocate de formation, qui a fait carrière sur un discours révisionniste à l’égard des crimes commis par la dictature militaire en Argentine (1976-1983), est en froid avec le président Javier Milei, qui ne lui adresse plus la parole.