Le groupe d’eurodéputés «Patriotes pour l’Europe» a proposé le nom de l’écrivain, emprisonné en Algérie depuis le 16 novembre, pour le prix annuel européen en faveur de la «liberté de l’esprit».
Avant la mobilisation du 18 septembre, les représentants syndicaux reçus par le Premier ministre lui ont rappelé leurs exigences : abrogation de la réforme des retraites et remise à plat des aides aux entreprises.
Le successeur de François Bayrou poursuit ses consultations avec un minimum de communication et, assure-t-on à Matignon, en toute «liberté». Mais la réalité de son autonomie vis-à-vis de l’Elysée reste à démontrer.