Tiraillé entre une partie de son électorat, qu’il a abreuvée de promesses sociales, et d’un autre côté les riches et industriels qu’il gâte discrètement, le parti d’extrême droite se montre toujours plus opportuniste et incohérent.
Faut-il ingérer et digérer le système capitalisme dont la voracité obscène et décomplexée donne la nausée ? Et comment ne plus être submergés par son récit du monde ?