«Libération» a pu consulter les messages postés sur Telegram par le groupe «Défense des droits des prisonniers français». Après plusieurs actions contre des centres pénitentiaires, revendiquées par ce compte, le Parquet national antiterroriste a ouvert une enquête.
Les intimidations des derniers jours qui ont visé des centres pénitentiaires et des logements de surveillants viennent s’ajouter aux conditions de travail déjà difficiles d’une profession en manque de moyens et de reconnaissance.
L’un veut devenir parent, l’autre non. Face à une situation de plus en plus courante, certains se séparent, tandis que d’autres envisagent des manières différentes de construire une famille.