Presque un an après les révélations de «Libé» sur les propos racistes ou antisémites de candidats et candidates du parti d’extrême droite aux législatives, nombre d’entre eux sont toujours confortablement en place. Alimentant plus que jamais un climat politique toxique en France.
En déployant samedi 7 juin au soir la garde nationale à Los Angeles, le président américain durcit sa croisade contre l’Etat progressiste, cosmopolite et multilingue, qui incarne la résistance acharnée à sa vision de l’Amérique.
Matteo Salvini, Viktor Orbán, Andrej Babis, Santiago Abascal… Lundi, le Rassemblement national organisait près de Montargis un grand meeting avec les dirigeants de partis alliés du continent.