Alors que les îles Canaries sont débordées par les arrivées records de migrants clandestins – 30 000 personnes depuis janvier, le double de l’an passé à la même date – le gouvernement espagnol, qui surprend par son discours intégrateur de l’immigration, répartit l’accueil dans la péninsule en privilégiant les zones rurales dépeuplées, comme en Galice, dans le nord-ouest du pays.