Rarissime. On n’a pas tous les jours l’occasion de découvrir en traduction française un grand écrivain de langue tamoule. C’est une chance appréciable, car avant d’être publié aux États-Unis, au Royaume-Uni et désormais dans l’Hexagone, « Femme pour moitié » a failli se retrouver purement et simplement interdit en Inde, pays de l’auteur.