Avant ce rendez-vous, une plateforme baptisée « Choose France for Science » a été lancée jeudi par le gouvernement. Il la présente comme « une première étape pour préparer l’accueil des chercheurs internationaux », alors que chercheurs et universités américaines sont dans le collimateur de l’administration Trump.
« Nous avons une bonne chance de résoudre ce conflit », a toutefois estimé, vendredi, le président américain, qui s’est refusé à fixer un calendrier précis pour la fin éventuelle des discussions.
Selon les informations du « Monde », des Maliens et des Burkinabés liés au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, franchise sahélienne d’Al-Qaida, ont été récemment interpellés par les services de renseignement ivoiriens.