Deux mois après l’annonce par Donald Trump d’une « paix durable » au Proche-Orient, le niveau de violence imposé par Israël sur le territoire palestinien ne suscite pas plus de protestations dans le pays qu’au sein de la communauté internationale.
Dans une tribune au « Monde », la professeure émérite à l’université Paris Cité déplore que les Palestiniens soient écartés des négociations du plan de Trump pour Gaza. Elle réfléchit aux manières dont ce peuple pourrait s’imposer en interlocuteur légitime et prendre une part active dans ces discussions.