Dans une tribune au « Monde », Patrick Lefas alerte sur l’inquiétante montée en puissance des discours anti-ONG. Il remarque que les associations qui défendent les droits humains, luttent contre la corruption, ou protègent l’environnement sont particulièrement visées par ces propos.

Dans son dernier essai, le sociologue Juan Sebastian Carbonell démontre que la montée en puissance de l’intelligence artificielle entraîne une « déqualification » et une « précarisation » des travailleurs dans de nombreux secteurs d’activité.

Les Européens ont du mal à tirer la leçon du feuilleton diplomatique de l’été : contrairement à eux, le président américain ne considère pas Vladimir Poutine comme un adversaire, relève, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».

Les tensions à l’Est, avec la Russie, comme à l’Ouest, avec l’Amérique, mettent à l’épreuve le modèle européen. Deux livres, l’un de Sylvain Kahn, l’autre de Guillaume Lagane, abordent cette situation nouvelle et explorent les réponses à y apporter. Débat.

Après la révélation, cet été, de l’existence de deux sites diffusant des images dégradantes et volées de nombreuses femmes, l’écrivaine féministe rappelle, dans un entretien au « Monde », que la société italienne accuse toujours un retard certain en matière de discrimination de genre.

Après son audition par le régulateur, mercredi 17 septembre, la dirigeante appelle à « admettre que CNews est un média d’opinion » et une « chaîne d’extrême droite ». Dans un entretien au « Monde », elle plaide pour un véritable soutien politique et financier aux médias de service public.

Le dessin paru en « une » du « Monde » le 17 septembre est signé par la dessinateur cubain, membre de l’association Cartooning for Peace

L’instabilité nourrie par la tentation unilatérale d’une pax hebraica purement sécuritaire et renforcée par l’incertitude concernant le comportement des Etats-Unis inspire l’inconfort des puissances arabes, explique, dans sa chronique, Gilles Paris, éditorialiste au « Monde ».

L’assassinat par balle de l’influenceur trumpiste Charlie Kirk, en plein meeting le 10 septembre dernier, a replongé les États-Unis dans un nouveau cycle de violence. Vu par Urbs (France)

Pour préserver nos capacités cognitives, rien de tel que… la préparation de bons petits plats, observe la chercheuse en psychologie Sylvie Chokron dans sa Carte blanche au « Monde ».

L’émotion qui a terrassé la base MAGA à l’annonce de la mort de cette figure de la jeunesse conservatrice américaine s’est transformée en inextinguible désir de vengeance, dressant l’un contre l’autre deux camps irréconciliables.

En montrant qu’une même information peut donner lieu à deux interprétations opposées, Jean-Baptiste Fressoz illustre, dans sa chronique, le fossé idéologique et économique entre les défenseurs des politiques climatiques et les tenants du productivisme.

Dans une tribune au « Monde », Jean-Yves Mollier dresse un panorama inquiétant du paysage éditorial français, où les indépendants et les hommes d’affaires, auparavant à la tête des grandes maisons, ont cédé leur place à des milliardaires idéologues aux desseins bien plus politiques.

Dans un essai incisif, le journaliste Jean-Michel Aphatie montre comment l’ancien présentateur de « Touche pas à mon poste » a gagné des parts d’audience grâce à d’incessantes transgressions.

Le neurologue Nicolas Villain déplore, dans un entretien au « Monde », la décision de la Haute Autorité de santé de refuser l’accès précoce au Leqembi. Avant la journée mondiale contre cette pathologie, le 21 septembre, il évoque les pistes prometteuses pour des traitements, ainsi que la prévention.

Dans une tribune au « Monde », l’écrivaine et historienne appelle de ses vœux l’alternance politique en Israël et l’avènement de deux Etats, pour mettre fin aux crimes commis par les extrémistes de tout bord.

Dans une tribune au « Monde », le médiéviste se demande quel Moyen Age mettre en scène pour contrer les projets culturels des milliardaires d’extrême droite.

Contrairement à ce que croit le monde politique hexagonal, un gouvernement de coalition ne se contente pas d’écouter et de respecter ses opposants. Il exige, en amont, un travail approfondi de compromis qui aboutit à une feuille de route très détaillée.