En novembre 2023, deux juges d’instruction parisiennes spécialisées avaient émis un mandat d’arrêt pour complicité de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre contre le dictateur syrien. L’information judiciaire ouverte à son encontre peut cependant se poursuivre.
Cette mesure entre en vigueur à partir de vendredi, conformément aux nouvelles mesures de sécurité imposées par le régulateur des médias. En cas de non-respect, les plateformes s’exposent à des amendes pouvant atteindre plus de 20 millions d’euros.
Une rencontre devait se tenir à Istanbul, vendredi 25 juillet, entre des représentants de la France, du Royaume uni et de l’Allemagne et des émissaires de la République islamique.