S’il a répété que le groupe islamiste serait « anéanti » s’il ne coopérait pas, le responsable américain, en visite en Israël, a rappelé qu’il n’y avait pas de « date butoir ». Il a également appelé Israël à faire preuve d’« un peu de patience » quant au retour des corps d’otages restants.
L’entrée en vigueur de cette loi avait déjà été reportée d’un an, à la fin de 2025, et la Commission avait demandé, en septembre, un report supplémentaire d’un an.
Les violences de la journée de dimanche ont montré la fragilité de la première étape du plan de paix de Donald Trump dans la bande de Gaza. Les imprécisions du plan et ses nombreuses carences peuvent le faire dérailler à tout instant.