Des critiques de la gestion de la pandémie par l’ancien président américain, Joe Biden, s’y affichent, et l’ex-architecte de la stratégie de Washington contre le virus, Anthony Fauci, est ciblé pour sa défense de l’origine naturelle du SARS-CoV-2.
Avant ce rendez-vous, une plateforme baptisée « Choose France for Science » a été lancée jeudi par le gouvernement. Il la présente comme « une première étape pour préparer l’accueil des chercheurs internationaux », alors que chercheurs et universités américaines sont dans le collimateur de l’administration Trump.
Sous l’impulsion du duo Donald Trump-Elon Musk, l’exécutif américain a annoncé de nombreux licenciements dans l’administration. Difficiles à suivre et à compter, ces coupes dans les effectifs révèlent les cibles prioritaires de la Maison Blanche.
Emmanuel Macron a rencontré le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, et des représentants ukrainiens et européens pour entamer des discussions sur la guerre en Ukraine.
L’administration américaine a reconnu que son expulsion résultait d’une « erreur administrative ». Mais elle se déclare dans l’incapacité d’y remédier, le père de famille étant désormais détenu par les autorités salvadoriennes.
En s’estimant dans l’impossibilité d’obtenir le retour d’un Salvadorien expulsé dans une prison de son pays d’origine à la suite d’une « erreur administrative », l’administration Trump défie une décision de la Cour suprême, et accroît les tensions avec le pouvoir judiciaire, tout en menant une bataille d’opinion sur la question de l’immigration.
Dans une tribune au « Monde », le membre de la commission des affaires étrangères au Parlement européen appelle de ses vœux une UE consciente de ses forces et capable de s’émanciper d’un choix qu’il estime évitable entre Donald Trump et Xi Jinping.