Depuis mercredi, un pirate informatique exige que le leader européen du naval de défense le contacte, sans quoi il dévoilera les potentielles données dérobées.
Deux juges d'instruction avaient émis un mandat d'arrêt pour complicité de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre à l'encontre de l'ancien chef de l'Etat syrien pour des attaques chimiques mortelles en 2013.