Trois courants d’opposants au premier secrétaire s’avancent vers une fusion, tendant la main au chef des députés roses. Mais ce dernier estime toujours être «le seul» à pouvoir «rassembler tout le monde».
Trois membres du gouvernement sont mis en cause pour «homicides involontaires», révèlent France Inter et «le Monde» ce lundi 14 avril. L’objectif est de «briser l’omerta» face à une «épidémie de suicides à l’hôpital public».