Le prêtre de 70 ans était notamment jugé pour les agressions sexuelles de quatre enfants d’une même famille et le viol de l’un d’entre eux dans le village de Massiac (Cantal). L’enquête avait révélé que l’Eglise était au courant mais n’avait pas pour autant interrompu son activité.

La haute juridiction administrative a estimé que le décret, pris en juin 2023 par Matignon, allait à l’encontre du droit européen puisque la Commission européenne avait demandé à la France d’attendre jusqu’à décembre 2023, le temps d’élaborer un règlement commun aux Vingt-Sept.

« Rachid Mekhloufi n’est plus, mais son héritage ne nous quittera jamais », écrit le club stéphanois qui annonce sa disparition.