Après une accalmie depuis la reprise de la capitale par l’armée, en mai, des installations militaires, une raffinerie et une centrale électrique ont été ciblées ce mardi.
Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a expliqué, mardi, s’attendre à des « actions coup de poing », des blocages voire des sabotages, mais ne pense pas « que ce mouvement mobilise[rait] la société civile ».
Le Conseil constitutionnel a validé cinq candidatures, dont celle du président sortant. Ses opposants n’ont d’autre choix que de s’unir s’ils veulent éviter un émiettement des suffrages, mais rien n’indique qu’ils en aient la volonté.