Censé incarner le trentenaire urbain et diplômé, sacrifié économiquement au profit des étrangers et des « boomeurs », le phénomène numérique de « Nicolas qui paie » est repris par plusieurs responsables politiques.
Imaginé dans les années 1960, ce domaine privé de 23 hectares est un havre de paix et de luxe. Mais si les habitants apprécient tant leur cité marine, c’est aussi pour son ambiance « club » propice aux rencontres entre gens de bonne compagnie.