Le président de l’entité serbe de Bosnie, la Republika Srpska, était recherché depuis le 18 mars pour avoir préconisé l’interdiction pour la police et la justice centrales du pays d’exercer sur le territoire de l’entité serbe. Il a bénéficié d’une remise en liberté conditionnelle.
Le Jihad islamique palestinien, principal allié du mouvement islamiste, a annoncé soutenir cette décision, tout en demandant des « garanties supplémentaires » permettant d’assurer qu’Israël « ne reprendra pas son agression » une fois les otages libérés.
Le procureur général près la Cour de cassation a demandé, vendredi 4 juillet, le maintien du mandat d’arrêt visant l’ancien président syrien pour deux attaques chimiques commises en août 2013. La décision sera rendue le 25 juillet.