A Pékin, jeudi, les dirigeants de l’Union européenne Ursula von der Leyen et Antonio Costa n’ont pu que constater la puissance de leur hôte et les profondes divergences commerciales et diplomatiques qui séparent aujourd’hui le Vieux Continent de la Chine.
Des combats d’une rare intensité ont éclaté, jeudi, à la frontière entre les deux pays, faisant au moins quatorze morts. Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU est programmée vendredi.
Le président américain a annoncé que le gouvernement fédéral ne pourra plus utiliser de logiciels d’IA jugés « woke », et privilégiera ceux visant la « neutralité idéologique ». Mais de quelle « neutralité » parle-t-on ?
Pour le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, la décision du président français met en danger la sécurité de l’Etat hébreu. L’extrême droite appelle, en représailles, à annexer officiellement la Cisjordanie occupée.
Le militant libanais propalestinien, condamné dans les années 1980 pour complicité d’assassinats de diplomates américain et israélien, est sorti de prison, direction l’aéroport de Roissy où il a pris un vol à destination de Beyrouth dès vendredi matin.
Le populaire opéra, porté par des solistes français et mis en scène par le Libano-Brésilien Jorge Takla, ouvre un festival tenu dans un contexte incertain, avec la poursuite d’attaques israéliennes au Liban.
« Avoir 20 ans à Berlin-Ouest » (5/6). Ecrivaine, actrice, metteuse en scène, la sexagénaire est arrivée de Turquie toute jeune femme pour travailler dans une usine en Allemagne. Très vite, l’apprentie comédienne découvre une autre façon de faire du théâtre.
Le chef de l’Etat souligne que Mahmoud Abbas a dénoncé les attentats du 7-Octobre, promis de renouveler la gouvernance de l’Autorité palestinienne et de démilitariser le Hamas. Il espère être suivi par d’autres pays, en septembre, lors de l’annonce officielle à la tribune de l’ONU.
Le chef de l’Etat en fera « l’annonce solennelle » devant l’ONU en septembre. Son camp salue une « parole claire », tandis que le patron de LFI, Jean-Luc Mélenchon s’est félicité d’une « victoire morale ».