Le militant libanais propalestinien, relâché vendredi 25 juillet après quarante années de détention en France, a été accueilli avec émotion et sidération par ses proches, dans le nord du pays.
Si l’Etat de Palestine est effectivement reconnu par la France en septembre, il quittera la liste hétéroclite des territoires dont Paris refuse de reconnaître la souveraineté, de l’Abkhazie à la Corée du Nord en passant par le Somaliland.
Des centaines de personnes se sont rassemblées, samedi, pour protester contre la visite du président américain. Dès son arrivée, il a évoqué l’immigration, appelant les pays européens « à se ressaisir » et à « mettre un terme à cette horrible invasion ».